Animée par le Dr Abdelbar Nassouh, chercheur en droit public et science politique, cette initiative s’inscrit dans un contexte national et international marqué par un intérêt croissant pour la transformation numérique et ses défis sécuritaires, législatifs et économiques. L’événement a été l’occasion d’aborder des questionnements profonds sur les impacts de la digitalisation sur la société et l’État, à travers les interventions d’une pléiade d’universitaires et de chercheurs spécialisés.
Le Dr Abdellatif Bakour, professeur de droit public à la Faculté pluridisciplinaire de Safi, a évoqué, dans son exposé sur « la transition numérique et les défis de la cybersécurité », les problématiques liées à la sécurité cybernétique ainsi qu’aux enjeux juridiques et institutionnels accompagnant cette mutation. Il a insisté sur la nécessité de mettre en place des mécanismes préventifs et des législations avancées pour protéger les données souveraines face à la recrudescence des cyberattaques.
De son côté, le Dr Mohamed El Ghali, doyen de la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de Kalaat Sraghna, s’est penché sur « la collectivité territoriale et l’intelligence artificielle », soulignant les risques liés à l’usage de l’IA dans la gestion locale, notamment en matière de protection de la vie privée et du droit à l’information. Il a soulevé la difficile équation entre l’exploitation de l’intelligence artificielle et la garantie de la transparence et de la sécurité des données.
Le Dr Mohamed Ez-Zahraoui, professeur de sciences politiques et de droit constitutionnel à la Faculté de droit d’El Jadida, a quant à lui mis en lumière les défis sécuritaires auxquels font face les collectivités territoriales dans un environnement de plus en plus numérisé. Il a plaidé pour le développement d’infrastructures informatiques sécurisées et l’intégration de la formation des compétences locales dans le processus de transition numérique.
Dans le même ordre d’idées, le Dr Rkia Achmal, professeure de droit public à l’Université Mohammed V de Rabat, a insisté sur l’importance de la formation et du renforcement continu des capacités pour accompagner cette transformation, tant au niveau institutionnel qu’individuel. Elle a rappelé que la réduction de la fracture numérique passe nécessairement par la qualification des ressources humaines et leur adaptation aux outils modernes.
Ce colloque a rencontré un vif succès auprès des participants – acteurs associatifs, étudiants et cadres administratifs – reflétant ainsi l’intérêt grandissant pour cette thématique cruciale dans le Maroc d’aujourd’hui.
Le Dr Abdellatif Bakour, professeur de droit public à la Faculté pluridisciplinaire de Safi, a évoqué, dans son exposé sur « la transition numérique et les défis de la cybersécurité », les problématiques liées à la sécurité cybernétique ainsi qu’aux enjeux juridiques et institutionnels accompagnant cette mutation. Il a insisté sur la nécessité de mettre en place des mécanismes préventifs et des législations avancées pour protéger les données souveraines face à la recrudescence des cyberattaques.
De son côté, le Dr Mohamed El Ghali, doyen de la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de Kalaat Sraghna, s’est penché sur « la collectivité territoriale et l’intelligence artificielle », soulignant les risques liés à l’usage de l’IA dans la gestion locale, notamment en matière de protection de la vie privée et du droit à l’information. Il a soulevé la difficile équation entre l’exploitation de l’intelligence artificielle et la garantie de la transparence et de la sécurité des données.
Le Dr Mohamed Ez-Zahraoui, professeur de sciences politiques et de droit constitutionnel à la Faculté de droit d’El Jadida, a quant à lui mis en lumière les défis sécuritaires auxquels font face les collectivités territoriales dans un environnement de plus en plus numérisé. Il a plaidé pour le développement d’infrastructures informatiques sécurisées et l’intégration de la formation des compétences locales dans le processus de transition numérique.
Dans le même ordre d’idées, le Dr Rkia Achmal, professeure de droit public à l’Université Mohammed V de Rabat, a insisté sur l’importance de la formation et du renforcement continu des capacités pour accompagner cette transformation, tant au niveau institutionnel qu’individuel. Elle a rappelé que la réduction de la fracture numérique passe nécessairement par la qualification des ressources humaines et leur adaptation aux outils modernes.
Ce colloque a rencontré un vif succès auprès des participants – acteurs associatifs, étudiants et cadres administratifs – reflétant ainsi l’intérêt grandissant pour cette thématique cruciale dans le Maroc d’aujourd’hui.
Mohamed LOKHNATI
