Présidée par le Secrétaire général du SNMP, Mustapha Bartoun, en présence du Secrétaire provincial de l’UGTM, Haj Abdallah Haouri, cette assemblée a été l’occasion de remuer les conditions difficiles qu’endure le musicien dans tous les sens, et ce, dans l’absence de toute garantie professionnelle, sociale et sanitaire.
Prenant la parole, Mustafa Bartoun a souligné la nécessité de restructurer la scène artistique, et de la débarrasser de tous les phénomènes qui la handicapent pour réhabiliter la profession.
Bartoun considérait que les musiciens sont le maillon faible et absent de la chaîne, et que les efforts déployés jusqu’ici par les syndicats artistiques qui se sont succédé pour encadrer ce secteur, restent insuffisants.
Il est grand temps précise Mustapha Bartoun pour cette catégorie d’artistes de s’organiser dans un cadre qui porte leur nom et partage leurs soucis, pour rehausser le musicien à la position qu’il mérite, tant sur le plan de l’élaboration de la politique publique du ministère que sur le plan de la préservation des droits et de la réunion des conditions nécessaires pour la poursuite et la promotion de la créativité.
Haj Abdallah Haouri a pour sa part indiqué que l’UGTM adhère parfaitement à la nouvelle dynamique adoptée par l’Etat quant aux secteurs informels, car selon lui, il est inconcevable qu’à l’orée du 3ème millénaire, le musicien marocain endure encore en silence…
Intervenant à l’occasion de son élection à la tête de la section locale du SNMP, Mohamed Saboni s’est engagé avec les membres du bureau syndical qu’il est appelé à designer plus tard, à œuvrer pour réhabiliter cette catégorie d’artistes et de garantir ses droits, est-ce, a-t-il poursuivi, en ouvrant des canaux de dialogue avec les musiciens et en se concentrant sur les dossiers sociaux qui les concernent.
Prenant la parole, Mustafa Bartoun a souligné la nécessité de restructurer la scène artistique, et de la débarrasser de tous les phénomènes qui la handicapent pour réhabiliter la profession.
Bartoun considérait que les musiciens sont le maillon faible et absent de la chaîne, et que les efforts déployés jusqu’ici par les syndicats artistiques qui se sont succédé pour encadrer ce secteur, restent insuffisants.
Il est grand temps précise Mustapha Bartoun pour cette catégorie d’artistes de s’organiser dans un cadre qui porte leur nom et partage leurs soucis, pour rehausser le musicien à la position qu’il mérite, tant sur le plan de l’élaboration de la politique publique du ministère que sur le plan de la préservation des droits et de la réunion des conditions nécessaires pour la poursuite et la promotion de la créativité.
Haj Abdallah Haouri a pour sa part indiqué que l’UGTM adhère parfaitement à la nouvelle dynamique adoptée par l’Etat quant aux secteurs informels, car selon lui, il est inconcevable qu’à l’orée du 3ème millénaire, le musicien marocain endure encore en silence…
Intervenant à l’occasion de son élection à la tête de la section locale du SNMP, Mohamed Saboni s’est engagé avec les membres du bureau syndical qu’il est appelé à designer plus tard, à œuvrer pour réhabiliter cette catégorie d’artistes et de garantir ses droits, est-ce, a-t-il poursuivi, en ouvrant des canaux de dialogue avec les musiciens et en se concentrant sur les dossiers sociaux qui les concernent.
Mohamed LOKHNATI