Outre sa vocation agricole, la commune de Sidi Smail, fief de la confection de la djellaba ou “kharqua saissia” par excellence, sera dotée d’une station de traitement des eaux usées déjà prête à hauteur de 50%, a-t-on annoncé auprès de la RADEEJ.
En effet, la RADEEJ précise dans un communiqué que le projet ayant nécessité une enveloppe budgétaire d'environ 9 millions de dirhams, jouera un rôle important dans la réduction des effets néfastes des eaux usées sur l'environnement de la région. Et d'ajouter que la nouvelle station, qui s'inscrit dans le cadre du programme national d'assainissement liquide intégré et de réutilisation des eaux usées traitées, traitera quotidiennement quelque 629 mètres cubes d'eaux usées qu'elle reçoit à travers un canal d'environ 2,5 km pour être soumises à un traitement en passant par plusieurs étapes.
Il s'agit, selon la même source, du prétraitement des eaux usées afin de trier les déchets solides et les graisses, et le traitement biologique, qui à son tour passe par trois étapes, à savoir le traitement primaire qui se déroule dans les bassins anaérobies, puis l'effluent s'écoule dans les bassins facultatifs, ensuite vers les bassins de maturation.
Les eaux traitées, conformes aux normes environnementales, finissent dans le canal de drainage de l'excédent d'eau d'irrigation, poursuit la même source. La station, qui s'étend sur une superficie de 5 hectares, devra se concrétiser d'ici la mi-2022 et bénéficiera à près de 8.800 habitants de la région, conclut le communiqué.
En effet, la RADEEJ précise dans un communiqué que le projet ayant nécessité une enveloppe budgétaire d'environ 9 millions de dirhams, jouera un rôle important dans la réduction des effets néfastes des eaux usées sur l'environnement de la région. Et d'ajouter que la nouvelle station, qui s'inscrit dans le cadre du programme national d'assainissement liquide intégré et de réutilisation des eaux usées traitées, traitera quotidiennement quelque 629 mètres cubes d'eaux usées qu'elle reçoit à travers un canal d'environ 2,5 km pour être soumises à un traitement en passant par plusieurs étapes.
Il s'agit, selon la même source, du prétraitement des eaux usées afin de trier les déchets solides et les graisses, et le traitement biologique, qui à son tour passe par trois étapes, à savoir le traitement primaire qui se déroule dans les bassins anaérobies, puis l'effluent s'écoule dans les bassins facultatifs, ensuite vers les bassins de maturation.
Les eaux traitées, conformes aux normes environnementales, finissent dans le canal de drainage de l'excédent d'eau d'irrigation, poursuit la même source. La station, qui s'étend sur une superficie de 5 hectares, devra se concrétiser d'ici la mi-2022 et bénéficiera à près de 8.800 habitants de la région, conclut le communiqué.
Mohamed LOKHNATI