La politique de réduction des visas délivrés, initiée sous la présidence d'Emmanuel Macron, était une approche "contre-productive", reflétant sa gestion "paternaliste" et "arrogante" des relations avec l’Afrique, estime dans une tribune, dont nous détenons une copie, le dernier candidat Les Républicains aux élections législatives pour les Français établis au Maghreb et en Afrique de l'Ouest, Edouard de Castellan.
"La levée des restrictions sur les visas n'est que le début du chemin vers la reconstruction des liens entre la France et le Maroc. Pour reconstruire pleinement cette relation, nous devons aller au-delà des gestes diplomatiques et engager des actions concrètes qui témoignent de notre respect pour les aspirations et la souveraineté marocaines", analyse-t-il.
De Castellan a également évoqué la question du Sahara marocain et a rappelé la position du parti politique les Républicains, qui "ont toujours soutenu une approche plus équilibrée et respectueuse dans leur conduite des affaires étrangères, en particulier en ce qui concerne des partenaires stratégiques comme le Maroc".
En ce qui concerne l’avenir des relations franco-marocaines, il est évident qu’elles ne peuvent être renouées sans la reconnaissance du Sahara par la France qui est défendue par la droite depuis de nombreuses années, tient-il à souligner.
"La levée des restrictions sur les visas n'est que le début du chemin vers la reconstruction des liens entre la France et le Maroc. Pour reconstruire pleinement cette relation, nous devons aller au-delà des gestes diplomatiques et engager des actions concrètes qui témoignent de notre respect pour les aspirations et la souveraineté marocaines", analyse-t-il.
De Castellan a également évoqué la question du Sahara marocain et a rappelé la position du parti politique les Républicains, qui "ont toujours soutenu une approche plus équilibrée et respectueuse dans leur conduite des affaires étrangères, en particulier en ce qui concerne des partenaires stratégiques comme le Maroc".
En ce qui concerne l’avenir des relations franco-marocaines, il est évident qu’elles ne peuvent être renouées sans la reconnaissance du Sahara par la France qui est défendue par la droite depuis de nombreuses années, tient-il à souligner.