En réponse à une question orale à la Chambre des Représentants, le ministre de l’Equipement et de l’Eau, Nizar Baraka a annoncé qu’El Jadida et Safi seront alimentées en eau potable via des unités de dessalement de l’eau conçus-en une année seulement grâce aux efforts de l’OCP. Cette décision qui devra être effective d’ici juillet prochain intervient, selon lui, pour réduire la pression sur le barrage Al Massira qui a constitué depuis longtemps la source d’approvisionnent des deux villes en eau potable.
Ainsi, ce barrage qui continue d’alimenter les villes dont le besoin en eau est de plus en plus important en raison de leur densité de population, au même titre d’ailleurs que Marrakech et Casablanca, connaît un déficit, car sur une capacité de plus de 2.6 milliards de m3, le barrage ne compte plus que 90 millions de m3, soit 3.7% de sa capacité totale.
D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que le Maroc fait appel à de telles mesures urgentes pour assurer l’approvisionnement normale de certaines villes en eau potable.
Dans le cadre du programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation 2020-2027, le Maroc a réalisé une liaison hydraulique entre le nord et le sud de Casablanca pour exploiter l’excédent d’eau disponible au niveau du barrage et ce, via une station de pompage.
Ce projet qui a pour but d’alléger la pression sur le barrage de Sidi Mohammed Ben Abdellah et les complexes hydrauliques du bassin Oum Er-Rbia, alimentant respectivement le nord et le sud de Casablanca, a permis de transférer, dans sa première phase, selon Nizar Baraka, un volume de 80 millions de m3 par an, du nord au sud de la métropole.
De plus, Nizar Baraka a rappelé : « Nous avons mis en place un projet de liaison du barrage de garde dans le bassin du Sebou avec le barrage Sidi Mohamed Ben Abdallah pour répondre aux besoins en eau potable des villes de Rabat et de Casablanca ».
En ce qui concerne l’état d’avancement du projet de station de dessalement de l’eau à Casablanca, le ministre a expliqué que la réalisation de ce projet a fait objet d’un partenariat public-privé et a expliqué que les retards observés émanent du souci de son département de faire le bon choix en termes de réduction des coûts de construction.
Il a également précisé que l’identité du prestataire qui se chargera de la réalisation de ce projet sera connue en août prochain, rassurant que l'Office National de l'Electricité et de l'Eau Potable (ONEE) poursuit son travail pour rendre la station opérationnelle d'ici fin 2026.
Dans un autre registre, le ministre a rassuré sur le rythme de construction des barrages, faisant savoir qu’il a été convenu de réduire en moyenne la durée de six mois à un an pour permettre aux citoyens et aux agriculteurs d'en bénéficier le plus tôt possible.
D’autre part, le ministre a indiqué que le chantier de construction de petits barrages et de lacs collinaires est en cours de mise en œuvre avec le démarrage de 18 ou 19 projets sur les 129 prévus, assurant que son département redouble d’efforts pour accélérer la cadence et réaliser les objectifs fixés.
Ainsi, ce barrage qui continue d’alimenter les villes dont le besoin en eau est de plus en plus important en raison de leur densité de population, au même titre d’ailleurs que Marrakech et Casablanca, connaît un déficit, car sur une capacité de plus de 2.6 milliards de m3, le barrage ne compte plus que 90 millions de m3, soit 3.7% de sa capacité totale.
D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que le Maroc fait appel à de telles mesures urgentes pour assurer l’approvisionnement normale de certaines villes en eau potable.
Dans le cadre du programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation 2020-2027, le Maroc a réalisé une liaison hydraulique entre le nord et le sud de Casablanca pour exploiter l’excédent d’eau disponible au niveau du barrage et ce, via une station de pompage.
Ce projet qui a pour but d’alléger la pression sur le barrage de Sidi Mohammed Ben Abdellah et les complexes hydrauliques du bassin Oum Er-Rbia, alimentant respectivement le nord et le sud de Casablanca, a permis de transférer, dans sa première phase, selon Nizar Baraka, un volume de 80 millions de m3 par an, du nord au sud de la métropole.
De plus, Nizar Baraka a rappelé : « Nous avons mis en place un projet de liaison du barrage de garde dans le bassin du Sebou avec le barrage Sidi Mohamed Ben Abdallah pour répondre aux besoins en eau potable des villes de Rabat et de Casablanca ».
En ce qui concerne l’état d’avancement du projet de station de dessalement de l’eau à Casablanca, le ministre a expliqué que la réalisation de ce projet a fait objet d’un partenariat public-privé et a expliqué que les retards observés émanent du souci de son département de faire le bon choix en termes de réduction des coûts de construction.
Il a également précisé que l’identité du prestataire qui se chargera de la réalisation de ce projet sera connue en août prochain, rassurant que l'Office National de l'Electricité et de l'Eau Potable (ONEE) poursuit son travail pour rendre la station opérationnelle d'ici fin 2026.
Dans un autre registre, le ministre a rassuré sur le rythme de construction des barrages, faisant savoir qu’il a été convenu de réduire en moyenne la durée de six mois à un an pour permettre aux citoyens et aux agriculteurs d'en bénéficier le plus tôt possible.
D’autre part, le ministre a indiqué que le chantier de construction de petits barrages et de lacs collinaires est en cours de mise en œuvre avec le démarrage de 18 ou 19 projets sur les 129 prévus, assurant que son département redouble d’efforts pour accélérer la cadence et réaliser les objectifs fixés.
