La ministre a souligné, mardi dernier devant le Parlement, que les mémorandums d’entente signés récemment par son département avec des partenaires, se traduiront par des investissements estimés à 595 millions de dirhams (MDH), avec à terme la création de plus de 14.000 emplois directs dans le domaine du digital. Le digital représente un pilier important pour les entreprises, il permet de mieux utiliser et mesurer l’impact des stratégies marketing et offre un meilleur retour sur leurs investissements.
Ainsi, les experts de la communication et du marketing prennent de plus en plus conscience de l’importance d’apporter une expérience qualitative à leurs clients comme à leurs collaborateurs en capitalisant sur l’essor numérique. Cet enjeu majeur prendra forme à travers de nouveaux investissements portant sur la mise en place d’unités affiliées à des entreprises internationales leaders dans la technologie numérique, au niveau de plusieurs régions du Royaume.
Mezzour a brossé les contours de ce grand chantier, en réponse à deux questions orales à la Chambre des représentants sur l’adoption de la digitalisation pour l’attraction des investissements et sur la promotion des emplois dans le domaine du digital. L’utilisation du digital évolue en permanence, et à tous les niveaux, avec un grand potentiel encore à défricher. Chacun s’habitue aujourd’hui à trouver en ligne des possibilités d’information, de consommation, de discussion, ainsi que des expériences immersives qui participent d’un changement en profondeur des comportements.
Toutes les données relatives au secteur justifient le choix du Maroc de porter l’intérêt sur l’attraction de ce genre d’entreprises, pour les motiver à développer leurs services digitaux, avec un déploiement à l’échelle mondiale. D’autant qu’elles ont une perception positive des compétences des jeunes marocains dans les secteurs liés aux technologies numériques, puisque le Royaume est considéré comme l’un des trois plus grands pôles de l’offshoring au niveau de l’Afrique.
La ministre souligne, à cette occasion, l’importance particulière à accorder aux startups technologiques et à les accompagner pour qu’elles deviennent compétitives à l’échelle internationale. La pédagogie à développer sur ces questions conduira à un développement de l’économie nationale et au renforcement des exportations du Royaume en termes de biens et services numériques.
Dans cette même optique, elle s’est focalisée sur le second volet qui concerne le capital humain à travers l’augmentation du nombre de spécialistes dans les domaines liés à la programmation et aux technologies numériques, et le renforcement de l’arsenal juridique pour booster les prestations relatives au paiement électronique. Il s’agit aussi de se focaliser entre autres sur la qualification de l’élément humain, de sorte à initier dans les écoles des programmations et des cursus de formation adéquats à l’intention des jeunes dans les différentes régions du Maroc. Il y va de la réussite du plan d’accompagnement des startups et de l’ouverture sur des expériences mondiales pionnières en la matière, sachant que la loi de finances 2023 a alloué un budget d’un milliard de dirhams pour le développement du digital au Maroc.
Pour réussir son entrée dans cette nouvelle ère, le Maroc devra donc optimiser tout le dispositif mis en place pour traduire les opportunités offertes en termes de développement qualitatif et quantitatif et ce, en droite ligne avec les objectifs des stratégies élaborées dans le domaine industriel et les grands axes du Nouveau modèle de développement.
Ainsi, les experts de la communication et du marketing prennent de plus en plus conscience de l’importance d’apporter une expérience qualitative à leurs clients comme à leurs collaborateurs en capitalisant sur l’essor numérique. Cet enjeu majeur prendra forme à travers de nouveaux investissements portant sur la mise en place d’unités affiliées à des entreprises internationales leaders dans la technologie numérique, au niveau de plusieurs régions du Royaume.
Mezzour a brossé les contours de ce grand chantier, en réponse à deux questions orales à la Chambre des représentants sur l’adoption de la digitalisation pour l’attraction des investissements et sur la promotion des emplois dans le domaine du digital. L’utilisation du digital évolue en permanence, et à tous les niveaux, avec un grand potentiel encore à défricher. Chacun s’habitue aujourd’hui à trouver en ligne des possibilités d’information, de consommation, de discussion, ainsi que des expériences immersives qui participent d’un changement en profondeur des comportements.
Toutes les données relatives au secteur justifient le choix du Maroc de porter l’intérêt sur l’attraction de ce genre d’entreprises, pour les motiver à développer leurs services digitaux, avec un déploiement à l’échelle mondiale. D’autant qu’elles ont une perception positive des compétences des jeunes marocains dans les secteurs liés aux technologies numériques, puisque le Royaume est considéré comme l’un des trois plus grands pôles de l’offshoring au niveau de l’Afrique.
La ministre souligne, à cette occasion, l’importance particulière à accorder aux startups technologiques et à les accompagner pour qu’elles deviennent compétitives à l’échelle internationale. La pédagogie à développer sur ces questions conduira à un développement de l’économie nationale et au renforcement des exportations du Royaume en termes de biens et services numériques.
Dans cette même optique, elle s’est focalisée sur le second volet qui concerne le capital humain à travers l’augmentation du nombre de spécialistes dans les domaines liés à la programmation et aux technologies numériques, et le renforcement de l’arsenal juridique pour booster les prestations relatives au paiement électronique. Il s’agit aussi de se focaliser entre autres sur la qualification de l’élément humain, de sorte à initier dans les écoles des programmations et des cursus de formation adéquats à l’intention des jeunes dans les différentes régions du Maroc. Il y va de la réussite du plan d’accompagnement des startups et de l’ouverture sur des expériences mondiales pionnières en la matière, sachant que la loi de finances 2023 a alloué un budget d’un milliard de dirhams pour le développement du digital au Maroc.
Pour réussir son entrée dans cette nouvelle ère, le Maroc devra donc optimiser tout le dispositif mis en place pour traduire les opportunités offertes en termes de développement qualitatif et quantitatif et ce, en droite ligne avec les objectifs des stratégies élaborées dans le domaine industriel et les grands axes du Nouveau modèle de développement.
Mariem LEMRAJNI