De nombreuses familles ont protesté, mardi, devant la Direction des Affaires consulaires et sociales relevant du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger à Rabat, pour faire entendre la voix de leurs enfants détenus en Libye.
Partis à la recherche d’une vie meilleure à l’étranger, ces hommes, dont la plupart sont jeunes, se sont retrouvés sous l'emprise de groupes qui leur demandent de l'argent pour les aider à atteindre les côtes italiennes.
Brandissant les portraits de leurs enfants, les familles ont appelé le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger à intervenir auprès des autorités libyennes pour assurer le rapatriement de leurs enfants dans les plus brefs délais.
“Mon fils a cru qu’il y avait des opportunités de travail intéressantes en Libye, c’est pour cela qu’il a décidé de s’aventurer dans ce voyage périlleux à la recherche d'un meilleur avenir. Mais une fois parti, il s’est retrouvé en pleine guerre, sans travail ni liberté. Certains lui exigent de l'argent pour l'emmener en Italie,” a déclaré une femme venue exprimer sa colère à Rabat.
Les familles ayant protesté devant le ministère des Affaires étrangères racontent qu’une dizaine de jeunes hommes ont été renvoyés de force dans des centre de détention après avoir été capturés en mer.
“Certains ont pu y échapper, tandis que d’autres subissent un véritable calvaire dans des conditions inhumaines, sans oublier la pression des bandes pour obtenir de l’argent,” a déclaré une autre mère, les larmes aux yeux.
Elle affirme n'avoir aucune nouvelle de son fils depuis sa libération. “Nous sommes ici pour appeler les autorités à l’action afin de nous aider à retrouver nos fils, qu'ils soient en vie ou non,” a-t-elle déclaré, les yeux fixés sur le portrait de son jeune enfant, qui espérait trouver une vie meilleure avant de se confronter à une réalité amère en Libye.
Pour sa part, le ministre libyen des Affaires étrangères, Abdelhadi Al-Huweij, avait affirmé qu'aucun citoyen marocain n'était détenu dans les prisons sous le contrôle du gouvernement. Il a également précisé qu'il n'existait pas de centres de détention indépendants du gouvernement libyen.
Partis à la recherche d’une vie meilleure à l’étranger, ces hommes, dont la plupart sont jeunes, se sont retrouvés sous l'emprise de groupes qui leur demandent de l'argent pour les aider à atteindre les côtes italiennes.
Brandissant les portraits de leurs enfants, les familles ont appelé le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger à intervenir auprès des autorités libyennes pour assurer le rapatriement de leurs enfants dans les plus brefs délais.
“Mon fils a cru qu’il y avait des opportunités de travail intéressantes en Libye, c’est pour cela qu’il a décidé de s’aventurer dans ce voyage périlleux à la recherche d'un meilleur avenir. Mais une fois parti, il s’est retrouvé en pleine guerre, sans travail ni liberté. Certains lui exigent de l'argent pour l'emmener en Italie,” a déclaré une femme venue exprimer sa colère à Rabat.
Les familles ayant protesté devant le ministère des Affaires étrangères racontent qu’une dizaine de jeunes hommes ont été renvoyés de force dans des centre de détention après avoir été capturés en mer.
“Certains ont pu y échapper, tandis que d’autres subissent un véritable calvaire dans des conditions inhumaines, sans oublier la pression des bandes pour obtenir de l’argent,” a déclaré une autre mère, les larmes aux yeux.
Elle affirme n'avoir aucune nouvelle de son fils depuis sa libération. “Nous sommes ici pour appeler les autorités à l’action afin de nous aider à retrouver nos fils, qu'ils soient en vie ou non,” a-t-elle déclaré, les yeux fixés sur le portrait de son jeune enfant, qui espérait trouver une vie meilleure avant de se confronter à une réalité amère en Libye.
Pour sa part, le ministre libyen des Affaires étrangères, Abdelhadi Al-Huweij, avait affirmé qu'aucun citoyen marocain n'était détenu dans les prisons sous le contrôle du gouvernement. Il a également précisé qu'il n'existait pas de centres de détention indépendants du gouvernement libyen.