Selon une source sécuritaire, les suspects ont été interpellés dans des opérations simultanées menées dans les villes de Béni Mellal, Ouarzazate, Azrou, Tinghir, Aïn Taoujtat et Imouzzer, après que les investigations ont révélé des soupçons sur leur implication, en connivence et de manière délibérée, dans la falsification de titres de propriété adoulaires, et sollicitant l'aide à de faux témoins, en vue de s’approprier des biens immobiliers relevant du domaine public ou appartenant à des particuliers, notamment des étrangers.
Les investigations sur le terrain ont également montré que certains détenus ont escroqué des personnes souhaitant émigrer à l'étranger, en leur subtilisant différentes sommes d’argent en échange de promesses fictives de délivrance de visas et de contrats de travail à l'étranger, a ajouté la même source.
Et de souligner que les perquisitions effectuées dans le cadre de cette affaire ont permis la saisie de faux titres de propriété, des contrats de travail et des visas, ainsi que des supports électroniques de stockage et du matériel informatique utilisés dans la falsification. Il s’agit aussi de récépissés de transferts d’argent suspectés provenir des revenus de ces actes criminels, a-t-on expliqué de même source.
Les mis en cause ont été placés en garde à vue à la disposition de l’enquête, menée sous la supervision du parquet compétent, en vue d'identifier les ramifications éventuelles de cette entreprise criminelle, de dévoiler tous les actes criminels imputés aux individus interpellés et d'arrêter les autres personnes impliquées ou ayant des liens avec ce réseau criminel, conclut-on.
Les investigations sur le terrain ont également montré que certains détenus ont escroqué des personnes souhaitant émigrer à l'étranger, en leur subtilisant différentes sommes d’argent en échange de promesses fictives de délivrance de visas et de contrats de travail à l'étranger, a ajouté la même source.
Et de souligner que les perquisitions effectuées dans le cadre de cette affaire ont permis la saisie de faux titres de propriété, des contrats de travail et des visas, ainsi que des supports électroniques de stockage et du matériel informatique utilisés dans la falsification. Il s’agit aussi de récépissés de transferts d’argent suspectés provenir des revenus de ces actes criminels, a-t-on expliqué de même source.
Les mis en cause ont été placés en garde à vue à la disposition de l’enquête, menée sous la supervision du parquet compétent, en vue d'identifier les ramifications éventuelles de cette entreprise criminelle, de dévoiler tous les actes criminels imputés aux individus interpellés et d'arrêter les autres personnes impliquées ou ayant des liens avec ce réseau criminel, conclut-on.