Le Maroc aurait reçu et mis en service les premiers systèmes anti-missiles Barak MX, capables d’abattre n’importe quel avion ou missile dans un rayon de 150 kilomètres. Ils sont fabriqués par l’IAI israélien ( Israel Aerospace Industries). C’est la même entreprise qui, selon plusieurs sources, fournira les armes de ce type pour le projet européen de bouclier anti-missiles, promu par l’Allemagne.
Jusqu’à présent, le Maroc a investi jusqu’à 500 millions de dollars dans ce nouveau système anti-missiles capable d’abattre n’importe quel avion ou missile ennemi à des distances de 150 kilomètres, selon les mêmes sources. Il pourrait se révéler un « dôme » de protection qui atteindrait une partie importante du Sud de l’Espagne, est-il précisé.
Il s’agit d’un système à grande capacité de mouvement qui permet à l’opérateur de défendre une zone spécifique contre les menaces venant de l’air. Mais en en équipant des navires, comme l’a fait la marine indienne avec le Barak MX. Il peut s’accommoder de l’usage de radars capables de détecter une cible à des distances de 470 kilomètres.
Si la réception des systèmes n’a été faite que récemment, l’achat avait été acté en février 2022, dans le cadre de l’accord stratégique de collaboration en matière de défense, signé en 2021 par Tel-Aviv et Rabat. Cet accord d’historique, convenu entre les deux parties en échange de la reconnaissance expresse de l’État d’Israël, permet au Maroc d’accéder à des armes de haute technologie fabriquées en Israël.
Grâce à ce pacte stratégique, le Maroc a pu accéder à des technologies tels que les drones Heron ou Hermes 900, les drones suicides Harop, ou encore un groupe de missiles antichars Spike, précise la même source. Le Barak Battle Management Center (BMC) crée et gère une image aérienne multi-capteurs unifiée, coordonne les réseaux d’opération et gère les réseaux de lancement mobiles, en effectuant toutes les missions en mouvement.
Les Intercepteurs Barak sont dotés de capacités de lance[1]ment vertical supportant une couverture à 360°, des réactions rapides, des portées minimales courtes et un autodirecteur RF actif haut de gamme pour les cibles à faible section radar et à grande maniabilité : BARAK MRAD est doté d’un moteur fusée à impulsion unique pour une portée de 35 km ; BARAK LRAD, d’un moteur fusée à double impulsion pour une autonomie de 70 km et de Radar ELM 2138 mobile «Détecter en mouvement» d’IAI.
Jusqu’à présent, le Maroc a investi jusqu’à 500 millions de dollars dans ce nouveau système anti-missiles capable d’abattre n’importe quel avion ou missile ennemi à des distances de 150 kilomètres, selon les mêmes sources. Il pourrait se révéler un « dôme » de protection qui atteindrait une partie importante du Sud de l’Espagne, est-il précisé.
Il s’agit d’un système à grande capacité de mouvement qui permet à l’opérateur de défendre une zone spécifique contre les menaces venant de l’air. Mais en en équipant des navires, comme l’a fait la marine indienne avec le Barak MX. Il peut s’accommoder de l’usage de radars capables de détecter une cible à des distances de 470 kilomètres.
Si la réception des systèmes n’a été faite que récemment, l’achat avait été acté en février 2022, dans le cadre de l’accord stratégique de collaboration en matière de défense, signé en 2021 par Tel-Aviv et Rabat. Cet accord d’historique, convenu entre les deux parties en échange de la reconnaissance expresse de l’État d’Israël, permet au Maroc d’accéder à des armes de haute technologie fabriquées en Israël.
Grâce à ce pacte stratégique, le Maroc a pu accéder à des technologies tels que les drones Heron ou Hermes 900, les drones suicides Harop, ou encore un groupe de missiles antichars Spike, précise la même source. Le Barak Battle Management Center (BMC) crée et gère une image aérienne multi-capteurs unifiée, coordonne les réseaux d’opération et gère les réseaux de lancement mobiles, en effectuant toutes les missions en mouvement.
Les Intercepteurs Barak sont dotés de capacités de lance[1]ment vertical supportant une couverture à 360°, des réactions rapides, des portées minimales courtes et un autodirecteur RF actif haut de gamme pour les cibles à faible section radar et à grande maniabilité : BARAK MRAD est doté d’un moteur fusée à impulsion unique pour une portée de 35 km ; BARAK LRAD, d’un moteur fusée à double impulsion pour une autonomie de 70 km et de Radar ELM 2138 mobile «Détecter en mouvement» d’IAI.
