Le ministre de la Justice a fait des déclarations lors d'un colloque organisé par le Centre national des tribunaux d'État en collaboration avec son département, mettant en lumière la nécessité d'améliorer les conditions des jeunes détenus et de sensibiliser le public aux problèmes de la jeunesse.
Le ministre a plaidé en faveur d'un traitement humanitaire, affirmant que les jeunes en proie à la toxicomanie devraient être considérés comme des "patients" nécessitant des soins, plutôt que comme des criminels. Il a souligné que la toxicomanie est une condition médicale, non un crime, et que les jeunes confrontés à cette réalité devraient être traités.
Ouahbi a également déclaré que lorsqu'un enfant commet un crime, il s'agit d'une "condition pathologique et non d'un acte criminel". Il a défendu l'idée que les enfants ne commettent pas de "crimes".
Cependant, ces commentaires ont déclenché une division parmi les internautes marocains, certains remettant en question la notion selon laquelle les personnes de moins de 18 ans ne devraient pas être tenues responsables de leurs actions.
Le ministre a également affirmé par la même occasion que le Maroc a le devoir de préserver et de garantir les droits des mineurs, soulignant que les "devoirs commencent à l'âge de 18 ans, lorsque la personne devient légalement responsable".
Le ministre a plaidé en faveur d'un traitement humanitaire, affirmant que les jeunes en proie à la toxicomanie devraient être considérés comme des "patients" nécessitant des soins, plutôt que comme des criminels. Il a souligné que la toxicomanie est une condition médicale, non un crime, et que les jeunes confrontés à cette réalité devraient être traités.
Ouahbi a également déclaré que lorsqu'un enfant commet un crime, il s'agit d'une "condition pathologique et non d'un acte criminel". Il a défendu l'idée que les enfants ne commettent pas de "crimes".
Cependant, ces commentaires ont déclenché une division parmi les internautes marocains, certains remettant en question la notion selon laquelle les personnes de moins de 18 ans ne devraient pas être tenues responsables de leurs actions.
Le ministre a également affirmé par la même occasion que le Maroc a le devoir de préserver et de garantir les droits des mineurs, soulignant que les "devoirs commencent à l'âge de 18 ans, lorsque la personne devient légalement responsable".