Les cours du pétrole brut ont repris leur envolée lors des échanges matinaux de ce mardi, après avoir reculé sous l’effet d’une correction effectuée depuis le milieu de séance d’hier, et ce, à un moment où les inquiétudes suscitées par la crise ukrainienne persistent.
Les cours du pétrole ont atteint les 139 dollars au début des échanges du lundi, impactés par les déclarations américaines appelant les pays européens à cesser d’acheter du pétrole brut russe. La flambée des prix du baril s’est alors atténuée et les cours sont tombés à 123,2 dollars le baril, en séance de clôture hier, mais le début des échanges de ce mardi a été ponctué par une nouvelle flambée des cours du pétrole. À 07 h 23 GMT, les cours des contrats à terme sur le Brent, pour une livraison en mai, avait augmenté de 3,40%, soit 4,08 dollars, à 127,27 dollars le baril.
Les cours des contrats à terme sur le brut US West Texas Intermediate (WTI), pour une livraison en avril, ont également augmenté de 2,80%, soit 3,3 dollars, à 122,7 dollars le baril.
La Russie est le deuxième plus grand pays producteur de pétrole brut au monde, après les États-Unis, avec une production quotidienne moyenne de 10,3 millions de barils par jour.
Les cours du pétrole ont atteint les 139 dollars au début des échanges du lundi, impactés par les déclarations américaines appelant les pays européens à cesser d’acheter du pétrole brut russe. La flambée des prix du baril s’est alors atténuée et les cours sont tombés à 123,2 dollars le baril, en séance de clôture hier, mais le début des échanges de ce mardi a été ponctué par une nouvelle flambée des cours du pétrole. À 07 h 23 GMT, les cours des contrats à terme sur le Brent, pour une livraison en mai, avait augmenté de 3,40%, soit 4,08 dollars, à 127,27 dollars le baril.
Les cours des contrats à terme sur le brut US West Texas Intermediate (WTI), pour une livraison en avril, ont également augmenté de 2,80%, soit 3,3 dollars, à 122,7 dollars le baril.
La Russie est le deuxième plus grand pays producteur de pétrole brut au monde, après les États-Unis, avec une production quotidienne moyenne de 10,3 millions de barils par jour.
