Le Président sud-africain, Cyril Ramaphosa, a comparu, mercredi matin, devant la Commission d’enquête sur la «Capture de l’Etat», un phénomène qui renvoie à la corruption généralisée ayant marqué le mandat de l’ex-président Jacob Zuma.
«La première partie de sa comparution portera sur des questions en suspens après son témoignage apporté au nom du parti du Congrès national africain (ANC au pouvoir) les 28 et 29 avril 2021», a indiqué la Présidence sud-africaine dans un communiqué. Selon la même source, la Commission d’enquête se penchera par la suite sur des questions relatives à ses fonctions en tant qu’ancien vice-président et actuel président.
La Commission, qui porte également le nom de son président, Raymond Zondo, a été mise en place pour enquêter sur le phénomène de la «capture de l’État» qui réfère aux vastes détournements de fonds publics par des hommes d’affaires, des politiciens et des fonctionnaires durant les deux mandats de l’ex-président Jocob Zuma (2009-2018).
«La première partie de sa comparution portera sur des questions en suspens après son témoignage apporté au nom du parti du Congrès national africain (ANC au pouvoir) les 28 et 29 avril 2021», a indiqué la Présidence sud-africaine dans un communiqué. Selon la même source, la Commission d’enquête se penchera par la suite sur des questions relatives à ses fonctions en tant qu’ancien vice-président et actuel président.
La Commission, qui porte également le nom de son président, Raymond Zondo, a été mise en place pour enquêter sur le phénomène de la «capture de l’État» qui réfère aux vastes détournements de fonds publics par des hommes d’affaires, des politiciens et des fonctionnaires durant les deux mandats de l’ex-président Jocob Zuma (2009-2018).