Dans le but de faire la lumière sur cette affaire et éclairer l’opinion publique après le tollé provoqué par l'annonce des résultats, les candidats non retenus ont décidé de porter le problème devant la justice.
Les candidats se sont réunis au sein d’une « coordination des candidats recalés » pour dénoncer les soupçons de « favoritisme » et de « conflits d’intérêts ».
Les candidats se disent déterminés à user de toutes les mesures légales face au silence du ministère de tutelle et veulent faire entendre leurs voix. Ils ont donc déposé plainte auprès du procureur général du Roi près de la Cour de Cassation afin que leurs revendications soient entendues.
La coordination rappelle que les « recalés» ne mettent pas en cause l’intégrité du comité supervisant l’examen, mais soulignent la nécessité de faire la lumière sur les éventuels conflits d’intérêts qui auraient eu lieu dans le déroulement de l'examen.
Les candidats se sont réunis au sein d’une « coordination des candidats recalés » pour dénoncer les soupçons de « favoritisme » et de « conflits d’intérêts ».
Les candidats se disent déterminés à user de toutes les mesures légales face au silence du ministère de tutelle et veulent faire entendre leurs voix. Ils ont donc déposé plainte auprès du procureur général du Roi près de la Cour de Cassation afin que leurs revendications soient entendues.
La coordination rappelle que les « recalés» ne mettent pas en cause l’intégrité du comité supervisant l’examen, mais soulignent la nécessité de faire la lumière sur les éventuels conflits d’intérêts qui auraient eu lieu dans le déroulement de l'examen.