Une vingtaine de Prix spéciaux d'une valeur de 126 millions de FCFA ont été décernés aux acteurs du 7ème Art, lors de la cérémonie de remise des Prix spéciaux du 28ème Festival panafricain du cinéma et de télévision de Ouagadougou (FESPACO), tenue vendredi dans la capitale burkinabé.
Les Prix spéciaux ont été remis à la veille de la clôture de la biennale qui s’est déroulée, samedi soir, à Ouagadougou. Ce sont au total 21 Prix spéciaux qui ont été remis en cette 28ème édition, tenue du 25 février au 4 mars, sous le thème « Cinémas africains et culture de la paix ».
Sur les 21 Prix, la réalisatrice burkinabè Apolline Traoré, en a remporté quatre. Avec son long métrage « Sira » en compétition officielle, elle a remporté les Prix de WATERAID Climat, eau et assainissement en Afrique (5.000.000) ; Prix Félix Houphouët-Boigny du Conseil de l’entente (10.000.000) ; Meilleure réalisatrice ouest africaine (10.000.000) ; et Prix Assemblée législative de transition du Burkina Faso (7.000.000).
L’actrice principale du film, la nommée « Sira », a reçu ces différents Prix. « Ces trophées représentent une fierté pour nous parce qu’on a présenté un très bon film. On se dit aussi que le peuple burkinabè nous soutient, avec l’engouement qu’il y a derrière », a déclaré lors de cette cérémonie, Nafissatou Cissé.
Pour les prix spéciaux de la 28ème édition du FESPACO, le réalisateur sénégalais Moussa Sène Absa a remporté un des trophées en jeu pour son film « Xalé, les blessures de l’enfance », aussi en compétition pour l’Étalon d’or de Yennenga. Il s’agit du Prix spécial de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) pour le meilleur long-métrage fiction, doté d’un chèque de 8 millions de FCFA.
Les Prix spéciaux ont été remis à la veille de la clôture de la biennale qui s’est déroulée, samedi soir, à Ouagadougou. Ce sont au total 21 Prix spéciaux qui ont été remis en cette 28ème édition, tenue du 25 février au 4 mars, sous le thème « Cinémas africains et culture de la paix ».
Sur les 21 Prix, la réalisatrice burkinabè Apolline Traoré, en a remporté quatre. Avec son long métrage « Sira » en compétition officielle, elle a remporté les Prix de WATERAID Climat, eau et assainissement en Afrique (5.000.000) ; Prix Félix Houphouët-Boigny du Conseil de l’entente (10.000.000) ; Meilleure réalisatrice ouest africaine (10.000.000) ; et Prix Assemblée législative de transition du Burkina Faso (7.000.000).
L’actrice principale du film, la nommée « Sira », a reçu ces différents Prix. « Ces trophées représentent une fierté pour nous parce qu’on a présenté un très bon film. On se dit aussi que le peuple burkinabè nous soutient, avec l’engouement qu’il y a derrière », a déclaré lors de cette cérémonie, Nafissatou Cissé.
Pour les prix spéciaux de la 28ème édition du FESPACO, le réalisateur sénégalais Moussa Sène Absa a remporté un des trophées en jeu pour son film « Xalé, les blessures de l’enfance », aussi en compétition pour l’Étalon d’or de Yennenga. Il s’agit du Prix spécial de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) pour le meilleur long-métrage fiction, doté d’un chèque de 8 millions de FCFA.
Rassemblement des professionnels
Le film a aussi gagné le Prix spécial du plus jeune comédien de la CEDEAO, avec l’interprétation de son actrice Ngissaly Barry. Ce prix, doté d’un montant d’un million de francs CFA, a été remis à l’actrice Rokhaya Niang, qui a aussi joué dans le film.
« A chaque fois que l’on célèbre une comédienne, c’est là où je trouve mon travail, parce que ce sont les comédiennes et comédiens qui font mes films, on ne me voit pas. Et elle [Rokhaya Niang] porte bien le film », a réagi Moussa Sène Absa, à la fin de la cérémonie
Le Sénégal a été honoré aussi dans la catégorie Yennenga post-producteur, avec le jeune réalisateur Oumar Ba, qui, pour son film « Goufdé », va bénéficier de huit mille euros pour terminer cette production. Ba a remporté le Prix de l’Union européenne. Sa compatriote, Ramatoulaye Sy, qui a concouru dans la même catégorie, bénéficie de cinq mille euros.
Ramatoulay Sy s’est aussi adjugé un prix dans la même catégorie pour son film « Banel et Adamùa ». Le film « L’envoyé de Dieu » de la Nigérienne Amina Mamani a obtenu le plus grand nombre de prix avec quatre récompenses spéciales. Il est suivi du film « Sira » de la réalisatrice burkinabè Apolline Traoré.
Créé en 1969 et institutionnalisé en 1972, le FESPACO rassemble pour une semaine des professionnels et autres passionnés, africains et du reste du monde, autour d’un facteur commun : le cinéma africain et celui de la diaspora africaine.
« A chaque fois que l’on célèbre une comédienne, c’est là où je trouve mon travail, parce que ce sont les comédiennes et comédiens qui font mes films, on ne me voit pas. Et elle [Rokhaya Niang] porte bien le film », a réagi Moussa Sène Absa, à la fin de la cérémonie
Le Sénégal a été honoré aussi dans la catégorie Yennenga post-producteur, avec le jeune réalisateur Oumar Ba, qui, pour son film « Goufdé », va bénéficier de huit mille euros pour terminer cette production. Ba a remporté le Prix de l’Union européenne. Sa compatriote, Ramatoulaye Sy, qui a concouru dans la même catégorie, bénéficie de cinq mille euros.
Ramatoulay Sy s’est aussi adjugé un prix dans la même catégorie pour son film « Banel et Adamùa ». Le film « L’envoyé de Dieu » de la Nigérienne Amina Mamani a obtenu le plus grand nombre de prix avec quatre récompenses spéciales. Il est suivi du film « Sira » de la réalisatrice burkinabè Apolline Traoré.
Créé en 1969 et institutionnalisé en 1972, le FESPACO rassemble pour une semaine des professionnels et autres passionnés, africains et du reste du monde, autour d’un facteur commun : le cinéma africain et celui de la diaspora africaine.
