Après des jours de recherche et de vive inquiétude, le monde du cinéma marocain est plongé dans la tristesse : Mounïm Kbab, acteur phare du film « Ali Zaoua », a été retrouvé mort dans un endroit abandonné proche des rails à Casablanca. Depuis sa disparition, l'angoisse avait gagné ses proches et ses amis, qui espéraient encore un dénouement moins tragique.
La nouvelle de sa mort a profondément secoué la toile, déclenchant une vague d’hommages de la part des internautes marocains, exprimant leur tristesse face à la perte d’un artiste aussi talentueux. Mounïm Kbab, dont le charisme et la profondeur d’interprétation dans « Ali Zaoua » ont marqué toute une génération, laisse un héritage indéniable au sein du septième art marocain. Ce film, réalisé par Nabil Ayouch, avait osé aborder de front des thèmes sociaux poignants, offrant à Kbab l’opportunité d’incarner l’un des personnages les plus mémorables du cinéma national.
Vingt ans après la sortie de « Ali Zaoua », Nabil Ayouch avait choisi de relancer le film en salles, partageant les bénéfices avec les acteurs principaux, dont Kbab, dans un geste de soutien symbolique. Avec ses 44 récompenses sur la scène nationale et internationale, « Ali Zaoua » a bouleversé les spectateurs par sa sincérité et sa force narrative. En 2000, il avait notamment décroché le Grand Prix au Festival international du film de Stockholm et le Prix du public au Festival méditerranéen de Bruxelles, inscrivant Mounïm Kbab et ses coéquipiers au panthéon des œuvres inoubliables.
La nouvelle de sa mort a profondément secoué la toile, déclenchant une vague d’hommages de la part des internautes marocains, exprimant leur tristesse face à la perte d’un artiste aussi talentueux. Mounïm Kbab, dont le charisme et la profondeur d’interprétation dans « Ali Zaoua » ont marqué toute une génération, laisse un héritage indéniable au sein du septième art marocain. Ce film, réalisé par Nabil Ayouch, avait osé aborder de front des thèmes sociaux poignants, offrant à Kbab l’opportunité d’incarner l’un des personnages les plus mémorables du cinéma national.
Vingt ans après la sortie de « Ali Zaoua », Nabil Ayouch avait choisi de relancer le film en salles, partageant les bénéfices avec les acteurs principaux, dont Kbab, dans un geste de soutien symbolique. Avec ses 44 récompenses sur la scène nationale et internationale, « Ali Zaoua » a bouleversé les spectateurs par sa sincérité et sa force narrative. En 2000, il avait notamment décroché le Grand Prix au Festival international du film de Stockholm et le Prix du public au Festival méditerranéen de Bruxelles, inscrivant Mounïm Kbab et ses coéquipiers au panthéon des œuvres inoubliables.