En réponse à une question orale sur "la question du mariage des mineurs", M. Ouahbi a souligné que le nombre des demandes de mariage des mineurs a baissé d'environ 20.000 demandes, notant que ces données "reflètent une prise de conscience accrue de la gravité de ce phénomène".
Le ministre a rappelé qu'en 2020, quelque 11.830 demandes ont été enregistrées en milieu rural, contre 4.527 en milieu urbain.
Cette tendance à la baisse, a-t-il fait remarquer, s'est poursuivie en 2023, avec un total de 9.021 demandes, dont seulement 2.880 en milieu urbain.
M. Ouahbi a fait observer que le mariage des mineurs est une "question de culture et de prise de conscience", appelant à une meilleure sensibilisation quant au rôle des filles au sein de la société et à la nécessité de leur offrir toutes les opportunités d'épanouissement.
Le ministre a rappelé qu'en 2020, quelque 11.830 demandes ont été enregistrées en milieu rural, contre 4.527 en milieu urbain.
Cette tendance à la baisse, a-t-il fait remarquer, s'est poursuivie en 2023, avec un total de 9.021 demandes, dont seulement 2.880 en milieu urbain.
M. Ouahbi a fait observer que le mariage des mineurs est une "question de culture et de prise de conscience", appelant à une meilleure sensibilisation quant au rôle des filles au sein de la société et à la nécessité de leur offrir toutes les opportunités d'épanouissement.





















