Le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a indiqué, lors d'une séance plénière des deux Chambres du Parlement, que son gouvernement avait l'intention de protéger la classe moyenne en mettant en place des mesures et des programmes d'accompagnement tout en misant sur une réforme progressive.
« Je saisis cette occasion pour mentionner que le gouvernement, dans le cadre du dialogue social, a augmenté le salaire minimum de 10 % dans les secteurs public et privé, augmenté les pensions du secteur privé de 5 %, et augmenté les salaires de certaines professions (enseignants, médecins, infirmiers, enseignants d'université), et réduit la charge fiscale sur les revenus moyens », a souligné le chef du gouvernement.
Akhannouch a également salué le programme ambitieux lancé par le gouvernement, conformément aux directives royales, visant à soutenir directement les familles à faible revenu et la classe moyenne désireuse d'acquérir un logement décent et abordable. Il a précisé que cette aide directe s'élève à 100.000 dirhams pour les logements d'une valeur inférieure à 300.000 dirhams, et à 70.000 dirhams pour les logements d'une valeur comprise entre 300.000 et 700.000 dirhams, représentant ainsi un budget de 10 milliards de dirhams.
Au cours de la même séance, le chef du gouvernement a insisté sur les effets positifs du programme de soutien direct aux familles et à notre pays, expliquant que ces répercussions positives contribueraient à améliorer "les indicateurs de développement social et humain, à réduire les taux de pauvreté et de vulnérabilité, et à réduire les inégalités sociales. Et à investir dans le capital humain : car investir dans les enfants dès leur jeune âge multiplie les impacts positifs, améliore la nutrition, l'éducation, la santé publique, et donc augmente la productivité".
Akhannouch a également déclaré que ces mesures contribueraient à "soutenir les groupes les plus vulnérables, en particulier les femmes et les personnes âgées, à consolider la solidarité intergénérationnelle, à alléger la charge financière et psychologique des familles qui prennent en charge les personnes âgées. Elles amélioreront également l'accès à l'éducation et à la santé, en exigeant que les enfants fréquentent l'école pour bénéficier pleinement du soutien direct, et en encourageant les mères à suivre les examens médicaux pendant la grossesse et à compléter les vaccinations et les examens médicaux pour les nouveau-nés".
Il a ajouté qu'elles contribueraient également à "réduire les disparités régionales et à fournir un revenu régulier aux familles qui dépendent des revenus des activités saisonnières. Tout en fournissant des soins aux enfants en situation de handicap en répondant à une partie de leurs besoins spécifiques et en les ciblant de manière plus efficace".
« Je saisis cette occasion pour mentionner que le gouvernement, dans le cadre du dialogue social, a augmenté le salaire minimum de 10 % dans les secteurs public et privé, augmenté les pensions du secteur privé de 5 %, et augmenté les salaires de certaines professions (enseignants, médecins, infirmiers, enseignants d'université), et réduit la charge fiscale sur les revenus moyens », a souligné le chef du gouvernement.
Akhannouch a également salué le programme ambitieux lancé par le gouvernement, conformément aux directives royales, visant à soutenir directement les familles à faible revenu et la classe moyenne désireuse d'acquérir un logement décent et abordable. Il a précisé que cette aide directe s'élève à 100.000 dirhams pour les logements d'une valeur inférieure à 300.000 dirhams, et à 70.000 dirhams pour les logements d'une valeur comprise entre 300.000 et 700.000 dirhams, représentant ainsi un budget de 10 milliards de dirhams.
Au cours de la même séance, le chef du gouvernement a insisté sur les effets positifs du programme de soutien direct aux familles et à notre pays, expliquant que ces répercussions positives contribueraient à améliorer "les indicateurs de développement social et humain, à réduire les taux de pauvreté et de vulnérabilité, et à réduire les inégalités sociales. Et à investir dans le capital humain : car investir dans les enfants dès leur jeune âge multiplie les impacts positifs, améliore la nutrition, l'éducation, la santé publique, et donc augmente la productivité".
Akhannouch a également déclaré que ces mesures contribueraient à "soutenir les groupes les plus vulnérables, en particulier les femmes et les personnes âgées, à consolider la solidarité intergénérationnelle, à alléger la charge financière et psychologique des familles qui prennent en charge les personnes âgées. Elles amélioreront également l'accès à l'éducation et à la santé, en exigeant que les enfants fréquentent l'école pour bénéficier pleinement du soutien direct, et en encourageant les mères à suivre les examens médicaux pendant la grossesse et à compléter les vaccinations et les examens médicaux pour les nouveau-nés".
Il a ajouté qu'elles contribueraient également à "réduire les disparités régionales et à fournir un revenu régulier aux familles qui dépendent des revenus des activités saisonnières. Tout en fournissant des soins aux enfants en situation de handicap en répondant à une partie de leurs besoins spécifiques et en les ciblant de manière plus efficace".
