Dans une note d’information sur son site-web, la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) annonce que la 11ème Conférence sur le changement climatique et le développement en Afrique (CCDA-XI) se tiendra les1er et 2 septembre prochain à Nairobi, au Kenya.
Traditionnellement convoquée chaque année avant la Conférence des parties (COP), la 11ème édition de la CCDA devra rassembler différentes parties prenantes africaines pour discuter des principaux défis liés au changement climatique et au développement auxquels fait face le continent, ainsi que pour identifier les opportunités et les solutions.
Convoquée en tant que segment technique du Sommet africain sur le climat (4-6 septembre à Nairobi), cette rencontre sera l'occasion de promouvoir les contributions fondées sur des données probantes et analytiques qui alimentent la position commune africaine lors des réunions de la COP.
La rencontre sera structurée comme une conférence de décideurs politiques africains de haut niveau, d'experts et de parties prenantes du changement climatique et du développement pour délibérer sur les principaux sous-thèmes de la CEA, a-t-on indiqué de même source, ajoutant qu'elle proposera des déclarations de résultats pour informer la CEA et contribuer aux recommandations pour les déclarations de celle-ci.
La première journée de la CCDA consistera en des réunions techniques des groupes d'experts, tandis que la deuxième journée sera un segment de haut niveau pour les décideurs politiques, afin d'examiner et de finaliser les déclarations pour le Sommet africain sur le climat.
Cette conférence intervient dans un contexte où le monde est en proie à une catastrophe climatique, une menace existentielle à nulle autre pareille, alors que ses économies continuent sans relâche de dévorer les budgets carbones plus vite qu'il ne peut les restaurer ou les reconstituer. Pour les experts, les perturbations climatiques sans précédent continuent de s'amplifier à la fois en fréquence et en férocité alors que les résultats à faible probabilité et à fort impact s'installent de manière précaire. Sans aucun doute, le changement climatique est le défi mondial le plus urgent, affirment-ils.
Traditionnellement convoquée chaque année avant la Conférence des parties (COP), la 11ème édition de la CCDA devra rassembler différentes parties prenantes africaines pour discuter des principaux défis liés au changement climatique et au développement auxquels fait face le continent, ainsi que pour identifier les opportunités et les solutions.
Convoquée en tant que segment technique du Sommet africain sur le climat (4-6 septembre à Nairobi), cette rencontre sera l'occasion de promouvoir les contributions fondées sur des données probantes et analytiques qui alimentent la position commune africaine lors des réunions de la COP.
La rencontre sera structurée comme une conférence de décideurs politiques africains de haut niveau, d'experts et de parties prenantes du changement climatique et du développement pour délibérer sur les principaux sous-thèmes de la CEA, a-t-on indiqué de même source, ajoutant qu'elle proposera des déclarations de résultats pour informer la CEA et contribuer aux recommandations pour les déclarations de celle-ci.
La première journée de la CCDA consistera en des réunions techniques des groupes d'experts, tandis que la deuxième journée sera un segment de haut niveau pour les décideurs politiques, afin d'examiner et de finaliser les déclarations pour le Sommet africain sur le climat.
Cette conférence intervient dans un contexte où le monde est en proie à une catastrophe climatique, une menace existentielle à nulle autre pareille, alors que ses économies continuent sans relâche de dévorer les budgets carbones plus vite qu'il ne peut les restaurer ou les reconstituer. Pour les experts, les perturbations climatiques sans précédent continuent de s'amplifier à la fois en fréquence et en férocité alors que les résultats à faible probabilité et à fort impact s'installent de manière précaire. Sans aucun doute, le changement climatique est le défi mondial le plus urgent, affirment-ils.
