Le ministre de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa, a souligné, vendredi à Rabat, l'existence d'une "volonté commune et d'un climat positif" avec les cinq syndicats de l’éducation les plus représentatifs pour parvenir à un accord dans les prochains jours sur le nouveau Statut des fonctionnaires de l’Éducation nationale.
Dans une déclaration à la presse à l'issue d'une réunion de la commission ministérielle chargée de traiter les problématiques liées au statut unifié des fonctionnaires de l’Éducation nationale avec les représentants des cinq syndicats les plus représentatifs du secteur, M. Benmoussa a indiqué que l'objectif est de poursuivre les réunions pour essayer de parvenir à un accord dans les prochains jours.
Selon le ministre, tous les dossiers de revendication ont été mis sur la table au cours de cette réunion avec les cinq syndicats, en vue de capitaliser sur les acquis et les résultats des réunions et rencontres tenues jusqu'à présent.
La parole est aux syndicats
De leur côté, les représentants des cinq syndicats les plus représentatifs de l’éducation ont mis en avant “le climat positif” de cette réunion, qui a abordé les tenants et aboutissants de la révision du Statut ainsi que le reste des questions en suspens, faisant état de la “réactivité” du gouvernement et sa disposition à poursuivre les réunions au cours des deux prochains jours dans le but de parachever les amendements du Statut, aussi bien sur les volets financiers que éducatifs, et d’élaborer un projet final.
Ils ont affirmé que "la coopération et l'intelligence collective" sont à même de favoriser l’émergence de solutions pertinentes aux revendications des femmes et des hommes du secteur de l'éducation pour un nouveau Statut en mesure de développer le système éducatif et répondre aux aspirations du personnel du secteur.
La rencontre avec la commission ministérielle a été l'occasion de rassembler le mouvement syndical, en présence des cinq syndicats les plus représentatifs dans le secteur de l'éducation, ce qui ne manquera pas de donner une impulsion et un élan positif au dialogue, ont-ils souligné.
Cette réunion a eu lieu après que la Fédération Nationale de l'Education (FNE) (tendance démocratique) s'est jointe ce vendredi au dialogue sectoriel. A l'issue de la réunion avec la commission ministérielle, ce syndicat a annoncé "la suspension de toute forme de protestation à partir de ce vendredi (22 décembre)".
Outre M. Benmoussa, la commission ministérielle comprend le ministre de l'Inclusion économique, de la Petite entreprise, de l'Emploi et des compétences, Younes Sekkouri, et le ministre délégué chargé du budget, Fouzi Lekjaa.
A rappeler que le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, avait présidé, le 10 décembre à Rabat, une réunion au cours de laquelle un accord a été signé entre le gouvernement et les centrales syndicales les plus représentatives afin d'améliorer les revenus des hommes et des femmes de l'enseignement.
L'accord prévoit notamment une augmentation des salaires de 1500 dirhams au profit de tous les salariés du secteur, ainsi que la résolution d'un nombre de dossiers catégoriels objet des débats depuis plusieurs années.
Dans une déclaration à la presse à l'issue d'une réunion de la commission ministérielle chargée de traiter les problématiques liées au statut unifié des fonctionnaires de l’Éducation nationale avec les représentants des cinq syndicats les plus représentatifs du secteur, M. Benmoussa a indiqué que l'objectif est de poursuivre les réunions pour essayer de parvenir à un accord dans les prochains jours.
Selon le ministre, tous les dossiers de revendication ont été mis sur la table au cours de cette réunion avec les cinq syndicats, en vue de capitaliser sur les acquis et les résultats des réunions et rencontres tenues jusqu'à présent.
La parole est aux syndicats
De leur côté, les représentants des cinq syndicats les plus représentatifs de l’éducation ont mis en avant “le climat positif” de cette réunion, qui a abordé les tenants et aboutissants de la révision du Statut ainsi que le reste des questions en suspens, faisant état de la “réactivité” du gouvernement et sa disposition à poursuivre les réunions au cours des deux prochains jours dans le but de parachever les amendements du Statut, aussi bien sur les volets financiers que éducatifs, et d’élaborer un projet final.
Ils ont affirmé que "la coopération et l'intelligence collective" sont à même de favoriser l’émergence de solutions pertinentes aux revendications des femmes et des hommes du secteur de l'éducation pour un nouveau Statut en mesure de développer le système éducatif et répondre aux aspirations du personnel du secteur.
La rencontre avec la commission ministérielle a été l'occasion de rassembler le mouvement syndical, en présence des cinq syndicats les plus représentatifs dans le secteur de l'éducation, ce qui ne manquera pas de donner une impulsion et un élan positif au dialogue, ont-ils souligné.
Cette réunion a eu lieu après que la Fédération Nationale de l'Education (FNE) (tendance démocratique) s'est jointe ce vendredi au dialogue sectoriel. A l'issue de la réunion avec la commission ministérielle, ce syndicat a annoncé "la suspension de toute forme de protestation à partir de ce vendredi (22 décembre)".
Outre M. Benmoussa, la commission ministérielle comprend le ministre de l'Inclusion économique, de la Petite entreprise, de l'Emploi et des compétences, Younes Sekkouri, et le ministre délégué chargé du budget, Fouzi Lekjaa.
A rappeler que le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, avait présidé, le 10 décembre à Rabat, une réunion au cours de laquelle un accord a été signé entre le gouvernement et les centrales syndicales les plus représentatives afin d'améliorer les revenus des hommes et des femmes de l'enseignement.
L'accord prévoit notamment une augmentation des salaires de 1500 dirhams au profit de tous les salariés du secteur, ainsi que la résolution d'un nombre de dossiers catégoriels objet des débats depuis plusieurs années.