La Coupole Zevaco
Implantée au coeur de la place des Nations Unies, la Coupole Zevaco, davantage désignée sous le nom du globe terrestre, et dont le chantier de rénovation a été entamé bien avant le Covid-19, a été restituée dans son état d’origine, tout en intégrant de nouveaux éléments comme la luminosité et des couleurs. Cette action vise, avant toute chose, à sauvegarder et à valoriser le riche patrimoine historique de la ville, afin de maintenir son attractivité touristique et de concourir au rayonnement de la métropole. Ce monument inédit en dit long sur l’empreinte inimitable du maître d’oeuvre.
Sheraton de Casablanca
A peu ou prou mille arpents, la touche de l’architecte continue de marquer les esprits. Mais à plus d’un égard, l’une des créations les plus emblématiques de Zevaco reste l’hôtel Sheraton de la Cité blanche. Avant-gardiste et défricheur en 1985, intrinsèque au Maroc moderniste des années 2000, le Sheraton arbore fièrement une allure qui défie le passage du temps et des tendances. Plébiscité par des têtes couronnées, chefs d’Etat et de gouvernement, il continue de caracoler en tête des scores lors des salons et festivals internationaux dédiés aux métiers du luxe.
Villa Zevaco
Également connue sous le nom de Villa Papillon pour sa vue panoramique, ou Villa Suissa, du nom de son constructeur et promoteur Sami Suissa, elle abrite aujourd’hui le café Chez Paul. Construite en 1975, elle était célèbre pour ses anciens établissements culinaires, tels que le Noli et la Corrida. Bien qu’elle porte encore le nom de Zevaco le moderniste, le pionnier expressif ouvert sur le monde et l’écosystème, la Villa suit le modèle plus clos et intimiste des maisons que JFZ a créées dans les années qui ont suivi l’indépendance du Maroc.
Villa Zniber
Deux ans avant l’écriture de ces lignes, pour commémorer le 65ème anniversaire de l’Indépendance du Maroc, la Villa Zniber de Rabat (également connue sous l’appellation de la MAMMA) a réalisé une affiche architecturale reprenant l’un des projets les plus impressionnants de la carrière de Jean-François Zevaco. Conçu dans les années 1970, ce bâtiment se présente comme une « architecture- sculpture ».
Implantée au coeur de la place des Nations Unies, la Coupole Zevaco, davantage désignée sous le nom du globe terrestre, et dont le chantier de rénovation a été entamé bien avant le Covid-19, a été restituée dans son état d’origine, tout en intégrant de nouveaux éléments comme la luminosité et des couleurs. Cette action vise, avant toute chose, à sauvegarder et à valoriser le riche patrimoine historique de la ville, afin de maintenir son attractivité touristique et de concourir au rayonnement de la métropole. Ce monument inédit en dit long sur l’empreinte inimitable du maître d’oeuvre.
Sheraton de Casablanca
A peu ou prou mille arpents, la touche de l’architecte continue de marquer les esprits. Mais à plus d’un égard, l’une des créations les plus emblématiques de Zevaco reste l’hôtel Sheraton de la Cité blanche. Avant-gardiste et défricheur en 1985, intrinsèque au Maroc moderniste des années 2000, le Sheraton arbore fièrement une allure qui défie le passage du temps et des tendances. Plébiscité par des têtes couronnées, chefs d’Etat et de gouvernement, il continue de caracoler en tête des scores lors des salons et festivals internationaux dédiés aux métiers du luxe.
Villa Zevaco
Également connue sous le nom de Villa Papillon pour sa vue panoramique, ou Villa Suissa, du nom de son constructeur et promoteur Sami Suissa, elle abrite aujourd’hui le café Chez Paul. Construite en 1975, elle était célèbre pour ses anciens établissements culinaires, tels que le Noli et la Corrida. Bien qu’elle porte encore le nom de Zevaco le moderniste, le pionnier expressif ouvert sur le monde et l’écosystème, la Villa suit le modèle plus clos et intimiste des maisons que JFZ a créées dans les années qui ont suivi l’indépendance du Maroc.
Villa Zniber
Deux ans avant l’écriture de ces lignes, pour commémorer le 65ème anniversaire de l’Indépendance du Maroc, la Villa Zniber de Rabat (également connue sous l’appellation de la MAMMA) a réalisé une affiche architecturale reprenant l’un des projets les plus impressionnants de la carrière de Jean-François Zevaco. Conçu dans les années 1970, ce bâtiment se présente comme une « architecture- sculpture ».
Houda BELABD
Zevaco, l’inégalable
Natif de la Cité blanche marocaine en 1916, Jean-François Zevaco, grand architecte français du Maroc contemporain, a fait ses premiers croquis à l’École nationale des beaux-arts de Paris en 1945. Dans le cadre de la réforme de la Métropolisation, de la venue de toute une nouvelle génération d’architectes au Maroc de l’après-guerre et de la présence de Michel Ecochard aux commandes de l’Urbanisme marocain, il ouvre son agence à Casablanca en 1947.
Ville en plein boom économique, lieu de tous les challenges architecturaux inspirés par le cinéma américain, Casablanca a été un fabuleux champ d’expérimentation dont Zevaco a su tirer parti pour concevoir une oeuvre résolument tournée vers la contemporanéité et l’éclectisme.
Zevaco prend, donc, part aux réflexions urbanistiques menées par le GAMMA (Groupe des Architectes Modernes Marocains) et prône un langage marocain réellement moderne, surtout lors de la reconstruction d’Agadir après le tremblement de terre de 1960. En 1980, il a reçu le Prix Aga Khan pour des logements abordables à Agadir.
Décédé en 2003, JFZ a construit principalement au Maroc, mais aussi au Tchad et au Soudan, et a laissé derrière lui quelque 165 bâtiments.
Ville en plein boom économique, lieu de tous les challenges architecturaux inspirés par le cinéma américain, Casablanca a été un fabuleux champ d’expérimentation dont Zevaco a su tirer parti pour concevoir une oeuvre résolument tournée vers la contemporanéité et l’éclectisme.
Zevaco prend, donc, part aux réflexions urbanistiques menées par le GAMMA (Groupe des Architectes Modernes Marocains) et prône un langage marocain réellement moderne, surtout lors de la reconstruction d’Agadir après le tremblement de terre de 1960. En 1980, il a reçu le Prix Aga Khan pour des logements abordables à Agadir.
Décédé en 2003, JFZ a construit principalement au Maroc, mais aussi au Tchad et au Soudan, et a laissé derrière lui quelque 165 bâtiments.
