Intervenant, jeudi dernier, lors des Régionales de l’investissement, le road show de la Banque Populaire dédié à la relance économique, Abdellatif Maazouz, président du Conseil régional Casablanca/Settat a passé en revue quelques uns des projets majeurs pour le développement de la région, notamment dans les domaines de l’environnement, de la mobilité, de l’industrie, du tourisme et de la logistique.
Les projets visent essentiellement à consolider le leadership économique de Casablanca/Settat au niveau national et à élaborer des solutions pour les problématiques auxquelles la région est confrontée. Abdellatif Maazouz, a tout d’abord observé que la région est confrontée à de sérieux défis en rapport avec l’important stress hydrique qui impacte ses projets, outre son pourcentage de pollution le plus fort au niveau national, ce qui, selon le président du Conseil régional Casablanca/Settat, place la question environnementale en tête des priorités du Conseil.
Pour traiter la question de la pénurie d’eau, la région veut construire, avec un budget de 1,4 milliard de dirhams, des stations monoblocs de dessalement, soit 42 mini-stations au total, en plus du projet de transfert d’eau du bassin de Sebou vers Bouregreg et celui du dessalement d’eau de mer.
En ce qui concerne la mobilité, Maazouz indique que la région accorde une grande importance à l’impulsion des projets mis en chantier en plus du lancement de trois autres; le premier concerne le transport ferroviaire « dans l’objectif de relier le nord de la région à son sud jusqu’à Jorf Lasfar et Settat ».
Le deuxième consiste à remplacer la gare routière de la métropole économique par deux grandes gares, et le troisième porte sur la mise à niveau de l’aéroport de Casablanca. Dans la perspective d’élargir l’assiette foncière dédiée au secteur industriel à Casablanca, Maazouz a annoncé la prochaine réalisation de zones industrielles de proximité d’une dizaine d’hectares chacune. Les zones seront proches des bassins d’emplois et ouvertes aux PME. Maazouza souligné que ces zones seront accessibles uniquement en « offre locative » à 13 dirhams/ m2 pour le terrain et 36 dirhams/ m2 pour le hangar.
Dans le même sillage, la région s’emploie à la réalisation d’une zone industrielle à Zenata, dédiée au métier des composants électroniques, une autre consacrée au textile ainsi qu’un projet en partenariat avec L’AMITH au niveau d’Errahma. Selon Maazouz, la région s’investit également dans la relance du tourisme, étant donné que plus de 550.000 emplois directs ont été créés depuis e2019 dans ce secteur, soit près de 5% de parts d’emploi dans l’ensemble de l’économie.
Plusieurs projets sont envisagés dans ce registre au niveau de la région, à savoir la création de sept espaces touristiques et d’animation autour des barrages et des points d’eau sur tout le territoire régional ainsi qu’un centre d’exposition et de conférences. Le président du Conseil régional a signalé qu’un potentiel de 250 hectares pour la ville a beaucoup tardé à être mobilisé, insistant sur la nécessité de relancer l’opération et exploiter une partie de cette assiette foncière dans les industries non polluantes.
Les projets visent essentiellement à consolider le leadership économique de Casablanca/Settat au niveau national et à élaborer des solutions pour les problématiques auxquelles la région est confrontée. Abdellatif Maazouz, a tout d’abord observé que la région est confrontée à de sérieux défis en rapport avec l’important stress hydrique qui impacte ses projets, outre son pourcentage de pollution le plus fort au niveau national, ce qui, selon le président du Conseil régional Casablanca/Settat, place la question environnementale en tête des priorités du Conseil.
Pour traiter la question de la pénurie d’eau, la région veut construire, avec un budget de 1,4 milliard de dirhams, des stations monoblocs de dessalement, soit 42 mini-stations au total, en plus du projet de transfert d’eau du bassin de Sebou vers Bouregreg et celui du dessalement d’eau de mer.
En ce qui concerne la mobilité, Maazouz indique que la région accorde une grande importance à l’impulsion des projets mis en chantier en plus du lancement de trois autres; le premier concerne le transport ferroviaire « dans l’objectif de relier le nord de la région à son sud jusqu’à Jorf Lasfar et Settat ».
Le deuxième consiste à remplacer la gare routière de la métropole économique par deux grandes gares, et le troisième porte sur la mise à niveau de l’aéroport de Casablanca. Dans la perspective d’élargir l’assiette foncière dédiée au secteur industriel à Casablanca, Maazouz a annoncé la prochaine réalisation de zones industrielles de proximité d’une dizaine d’hectares chacune. Les zones seront proches des bassins d’emplois et ouvertes aux PME. Maazouza souligné que ces zones seront accessibles uniquement en « offre locative » à 13 dirhams/ m2 pour le terrain et 36 dirhams/ m2 pour le hangar.
Dans le même sillage, la région s’emploie à la réalisation d’une zone industrielle à Zenata, dédiée au métier des composants électroniques, une autre consacrée au textile ainsi qu’un projet en partenariat avec L’AMITH au niveau d’Errahma. Selon Maazouz, la région s’investit également dans la relance du tourisme, étant donné que plus de 550.000 emplois directs ont été créés depuis e2019 dans ce secteur, soit près de 5% de parts d’emploi dans l’ensemble de l’économie.
Plusieurs projets sont envisagés dans ce registre au niveau de la région, à savoir la création de sept espaces touristiques et d’animation autour des barrages et des points d’eau sur tout le territoire régional ainsi qu’un centre d’exposition et de conférences. Le président du Conseil régional a signalé qu’un potentiel de 250 hectares pour la ville a beaucoup tardé à être mobilisé, insistant sur la nécessité de relancer l’opération et exploiter une partie de cette assiette foncière dans les industries non polluantes.
Les opportunités d’investissement exposées à des entreprises chinoises
Le patronat marocain (CGEM) et le Conseil de la Promotion du commerce extérieur de Chine (CCPIT) ont tenu, vendredi dernier, une rencontre économique au cours de laquelle les opérateurs chinois ont pris connaissance des opportunités de commerce et d’investissement au Maroc, et dans la région de Casablanca-Settat en particulier.
Cette rencontre, qui a connu la participation de plus de 200 sociétés chinoises, visait à créer des synergies et partenariats concrets entre les entreprises des deux pays, ainsi que d’encourager les sociétés chinoises à s’établir dans cette région.
