A l’occasion de la Journée mondiale contre la rage, qui se tient le 28 septembre, sous le thème « Une gestion de proximité pour préserver la santé et la sécurité du citoyen », le Conseil de la ville multiplie ses efforts pour éradiquer les décès causés par la rage d’ici 2023.
Jointe par « L’Opinion », Noufissa Ramhane, Adjointe à la maire de Casablanca, chargée de la santé, a indiqué que le Conseil communal de la ville s’est engagé dans le programme national contre la rage (PNLAR) afin de lutter contre cette maladie et pour préserver la santé publique, et ce, avec la collaboration de différents acteurs notamment, le ministère de la Santé, l’Ordre national des vétérinaires du Maroc, l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA).
La stratégie communale comprend, selon Noufissa Ramhane, la prévention à travers la vaccination et la stérilisation des chiens et chats errants, mais aussi par le biais de la prise en charge médicale des citoyens mordus par ces animaux de rue. De ce fait, afin de sensibiliser les Casablancais au sujet de l’importance de la vaccination contre la rage, Noufissa a souligné que « le Maroc dispose du Centre de référence de la rage au sein de l’Institut Pasteur qui prend en charge les citoyens mordus par les chiens errants ».
Et d’ajouter qu’« une fois mordue par un chien de rue, la personne concernée doit se diriger vers le centre où elle bénéficiera de la prise en charge médicale gratuite de la part des spécialistes ».
Afin de prévenir le phénomène de la rage, le Conseil de la ville a mobilisé un groupe spécial pour l’action qui consiste à Tenir, Neutraliser, Relâcher (TNR) les chiens et chats errants. Il procédera prochainement à la mise en place des refuges dans la ville pour élargir cette campagne et toucher le maximum de chiens et chats errants.
Jointe par « L’Opinion », Noufissa Ramhane, Adjointe à la maire de Casablanca, chargée de la santé, a indiqué que le Conseil communal de la ville s’est engagé dans le programme national contre la rage (PNLAR) afin de lutter contre cette maladie et pour préserver la santé publique, et ce, avec la collaboration de différents acteurs notamment, le ministère de la Santé, l’Ordre national des vétérinaires du Maroc, l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA).
La stratégie communale comprend, selon Noufissa Ramhane, la prévention à travers la vaccination et la stérilisation des chiens et chats errants, mais aussi par le biais de la prise en charge médicale des citoyens mordus par ces animaux de rue. De ce fait, afin de sensibiliser les Casablancais au sujet de l’importance de la vaccination contre la rage, Noufissa a souligné que « le Maroc dispose du Centre de référence de la rage au sein de l’Institut Pasteur qui prend en charge les citoyens mordus par les chiens errants ».
Et d’ajouter qu’« une fois mordue par un chien de rue, la personne concernée doit se diriger vers le centre où elle bénéficiera de la prise en charge médicale gratuite de la part des spécialistes ».
Afin de prévenir le phénomène de la rage, le Conseil de la ville a mobilisé un groupe spécial pour l’action qui consiste à Tenir, Neutraliser, Relâcher (TNR) les chiens et chats errants. Il procédera prochainement à la mise en place des refuges dans la ville pour élargir cette campagne et toucher le maximum de chiens et chats errants.
