L'inauguration de l'Académie Ali Zaoua des Métiers de la Culture (AMC) à Aïn Sebaâ marque un moment significatif de collaboration entre l'Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH), la Fondation Ali Zaoua, l'Union Européenne et la Fondation Drosos. Cet établissement revêt une importance particulière en tant que lieu dédié à la formation dans le domaine culturel, résultant d'un partenariat stratégique visant à promouvoir le développement humain et culturel au Maroc.
Il se distingue par son engagement en faveur de la formation professionnelle axée sur des compétences spécifiques. Grâce à des modules diversifiés, il s'adresse particulièrement aux jeunes issus de quartiers défavorisés, leur offrant ainsi des opportunités tangibles d'intégration sur le marché du travail à l'issue de leur parcours académique. Cette approche vise à créer une dynamique d'inclusion sociale en favorisant l'accès à l'éducation et à des perspectives professionnelles concrètes pour les jeunes talents de ces communautés.
Un pas de géant dans la formation culturelle
L’Académie vise également à atteindre 480 bénéficiaires directs sur une durée de 3 ans, dont 310 jeunes âgés de 18 à 29 ans et justifiant d’une expérience significative dans le domaine culturel, et 170 jeunes artistes souhaitant valoriser leur expérience. Au-delà des bénéficiaires directs, l'AMC devrait impacter positivement plus de 400 jeunes de quartiers défavorisés à travers le Royaume.
Dans une allocution à l’occasion de l’inauguration de l’Académie, le Gouverneur de la Préfecture des Arrondissements Aïn Sebaâ-Hay Mohammadi, Hassan Benkhayi, a affirmé : « La création de l’AMC est le fruit d’un partenariat entre le Comité préfectoral du développement humain et la Fondation Ali Zaoua, dans le but de contribuer à l’insertion socio-économique des jeunes, selon une approche participative mobilisant les acteurs culturels ».
Et de souligner que "l’AMC reflète la politique de proximité déployée par les services de la Préfecture afin d’accueillir, écouter et orienter les jeunes, et leur offrir l’appui technique et financier nécessaire".
Pour sa part, le président de la Fondation Ali Zaoua, Nabil Ayouch, a affirmé qu’il ne s’agit pas seulement pour l’AMC d'offrir aux jeunes une formation dans les arts et la culture, "mais aussi de leur transmettre les outils de l’émancipation, même s’ils ne deviendront pas tous artistes".
Cette initiative illustre la volonté collective de créer un changement positif à travers l'éducation et la formation, elle incarne la conviction partagée quant à l'importance d'assurer un accès équitable aux opportunités éducatives, jetant ainsi les bases d'un avenir plus prometteur pour les jeunes des quartiers défavorisés.
Il se distingue par son engagement en faveur de la formation professionnelle axée sur des compétences spécifiques. Grâce à des modules diversifiés, il s'adresse particulièrement aux jeunes issus de quartiers défavorisés, leur offrant ainsi des opportunités tangibles d'intégration sur le marché du travail à l'issue de leur parcours académique. Cette approche vise à créer une dynamique d'inclusion sociale en favorisant l'accès à l'éducation et à des perspectives professionnelles concrètes pour les jeunes talents de ces communautés.
Un pas de géant dans la formation culturelle
L’Académie vise également à atteindre 480 bénéficiaires directs sur une durée de 3 ans, dont 310 jeunes âgés de 18 à 29 ans et justifiant d’une expérience significative dans le domaine culturel, et 170 jeunes artistes souhaitant valoriser leur expérience. Au-delà des bénéficiaires directs, l'AMC devrait impacter positivement plus de 400 jeunes de quartiers défavorisés à travers le Royaume.
Dans une allocution à l’occasion de l’inauguration de l’Académie, le Gouverneur de la Préfecture des Arrondissements Aïn Sebaâ-Hay Mohammadi, Hassan Benkhayi, a affirmé : « La création de l’AMC est le fruit d’un partenariat entre le Comité préfectoral du développement humain et la Fondation Ali Zaoua, dans le but de contribuer à l’insertion socio-économique des jeunes, selon une approche participative mobilisant les acteurs culturels ».
Et de souligner que "l’AMC reflète la politique de proximité déployée par les services de la Préfecture afin d’accueillir, écouter et orienter les jeunes, et leur offrir l’appui technique et financier nécessaire".
Pour sa part, le président de la Fondation Ali Zaoua, Nabil Ayouch, a affirmé qu’il ne s’agit pas seulement pour l’AMC d'offrir aux jeunes une formation dans les arts et la culture, "mais aussi de leur transmettre les outils de l’émancipation, même s’ils ne deviendront pas tous artistes".
Cette initiative illustre la volonté collective de créer un changement positif à travers l'éducation et la formation, elle incarne la conviction partagée quant à l'importance d'assurer un accès équitable aux opportunités éducatives, jetant ainsi les bases d'un avenir plus prometteur pour les jeunes des quartiers défavorisés.
Un hub de créativité culturelle
L'inauguration de l'AMC représente une étape cruciale, intervenant après plusieurs mois de cours au sein de l'Académie. Le programme de formation a été élaboré selon une approche diversifiée visant à préparer ces jeunes à relever les défis du secteur culturel. Cette formation offrira aux jeunes participants, venant de cinq régions du Maroc, l'opportunité de jouer un rôle actif dans le développement de projets culturels à l'échelle nationale.
En outre, elle les habilitera à redynamiser les espaces culturels existants et à contribuer à la création de futurs lieux culturels à travers tout le territoire marocain. Ainsi, cette initiative cherche à nourrir la créativité et le dynamisme des jeunes talents, tout en favorisant une contribution significative au rayonnement culturel du pays.
En outre, elle les habilitera à redynamiser les espaces culturels existants et à contribuer à la création de futurs lieux culturels à travers tout le territoire marocain. Ainsi, cette initiative cherche à nourrir la créativité et le dynamisme des jeunes talents, tout en favorisant une contribution significative au rayonnement culturel du pays.
