A cet effet, le premier Forum sur le système de protection sociale a été organisé, mercredi à Casablanca, pour parvenir à une insertion sociale réussie, élément clé du développement social. Initié sous le thème : «L’insertion sociale, un levier de développement », par la commune de Casablanca et le ministère de la Solidarité, de l’Insertion Sociale et de la Famille, en partenariat avec le Conseil de la région Casablanca-Settat et le Conseil préfectoral de Casablanca, le forum a été l’occasion de mettre en avant les efforts déployés au niveau local pour traiter les aspects sociaux et s’arrêter sur certaines manifestations de précarité sociale et les moyens d’y faire face.
Dans ce sens, le président du Conseil de la région Casablanca-Settat, Abdellatif Maâzouz, a passé en revue les réalisations accomplies par le Maroc, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, dans la voie du développement social, comme en témoignent les différents indi[1]cateurs de développement enregistrés durant les 20 dernières années. Il a, toutefois, relevé que la pandémie du Coronavirus a impacté négativement ces efforts, ce qui rend d’autant plus nécessaire une mutualisation des efforts pour rattraper le temps perdu et aller de l’avant pour améliorer davantage la situation.
A cet égard, la région de Casablanca-Settat a déployé une action soutenue dans différents domaines y compris le volet social, a-t-il indiqué. M. Maâzouz a fait savoir que la densification de la population casablancaise à cause de l’attrait de la région, pose nombre de problèmes et défis, notant dans ce sens que le plan de développement régional (PDR) a révélé les multiples facettes de la précarité à Casablanca et dans le reste des zones de la région, ce qui requiert une intensification des efforts pour transcender la problématique des disparités et lutter contre la pauvreté et la précarité.
Pour sa part, la présidente du Conseil communal de Casablanca, Nabila Rmili, a souligné, dans une intervention portant sur le traitement du volet social à Casablanca, l’importance de résoudre les problèmes de la précarité et du vagabondage, sachant qu’une proportion non négligeable parmi les franges sociales a besoin du soutien.
Et de souligner que la prise en charge de l’aspect social requiert une approche volontariste pour résorber les différents fléaux qui ne cessent de s’accentuer, comme le vagabondage et la précarité, notant que le plan d’action du Conseil communal de Casablanca appréhende de manière globale les différents aspects sociaux, notamment pour le volet relatif à la création de centres pour les enfants, les femmes et les personnes en situation difficile.
De son côté, le président du Conseil préfectoral de Casablanca, Saïd Naciri, a souligné que le Maroc, sous l’impulsion de SM le Roi Mohammed VI, accorde un intérêt capital au chantier social, comme le dénotent les grands programmes conduits dans le cadre de l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH), laquelle est sous-tendue par les objectifs de réalisation de la justice sociale et de traitement de la précarité. La dimension sociale fait partie intégrante du champ de compétences des collectivités territoriales, a-t-il dit, soulignant l’importance de l’approche participative adoptée par la ville de Casablanca pour concrétiser les programmes mis au point dans ce domaine afin de résoudre les différents problèmes qui se posent.
Dans ce sens, le président du Conseil de la région Casablanca-Settat, Abdellatif Maâzouz, a passé en revue les réalisations accomplies par le Maroc, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, dans la voie du développement social, comme en témoignent les différents indi[1]cateurs de développement enregistrés durant les 20 dernières années. Il a, toutefois, relevé que la pandémie du Coronavirus a impacté négativement ces efforts, ce qui rend d’autant plus nécessaire une mutualisation des efforts pour rattraper le temps perdu et aller de l’avant pour améliorer davantage la situation.
A cet égard, la région de Casablanca-Settat a déployé une action soutenue dans différents domaines y compris le volet social, a-t-il indiqué. M. Maâzouz a fait savoir que la densification de la population casablancaise à cause de l’attrait de la région, pose nombre de problèmes et défis, notant dans ce sens que le plan de développement régional (PDR) a révélé les multiples facettes de la précarité à Casablanca et dans le reste des zones de la région, ce qui requiert une intensification des efforts pour transcender la problématique des disparités et lutter contre la pauvreté et la précarité.
Pour sa part, la présidente du Conseil communal de Casablanca, Nabila Rmili, a souligné, dans une intervention portant sur le traitement du volet social à Casablanca, l’importance de résoudre les problèmes de la précarité et du vagabondage, sachant qu’une proportion non négligeable parmi les franges sociales a besoin du soutien.
Et de souligner que la prise en charge de l’aspect social requiert une approche volontariste pour résorber les différents fléaux qui ne cessent de s’accentuer, comme le vagabondage et la précarité, notant que le plan d’action du Conseil communal de Casablanca appréhende de manière globale les différents aspects sociaux, notamment pour le volet relatif à la création de centres pour les enfants, les femmes et les personnes en situation difficile.
De son côté, le président du Conseil préfectoral de Casablanca, Saïd Naciri, a souligné que le Maroc, sous l’impulsion de SM le Roi Mohammed VI, accorde un intérêt capital au chantier social, comme le dénotent les grands programmes conduits dans le cadre de l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH), laquelle est sous-tendue par les objectifs de réalisation de la justice sociale et de traitement de la précarité. La dimension sociale fait partie intégrante du champ de compétences des collectivités territoriales, a-t-il dit, soulignant l’importance de l’approche participative adoptée par la ville de Casablanca pour concrétiser les programmes mis au point dans ce domaine afin de résoudre les différents problèmes qui se posent.