Aux dernières nouvelles, la Loft Art Gallery de Casablanca a accueilli en grande pompe et tout au long du mois d’octobre l’exposition monographique de l’artiste peintre belgomarocaine Amina Rezki. Il s’agit d’une plasticienne comme on en rencontre rarement. Une artiste qui a fait du pinceau sa raison d’être serait-on tenté de dire d’elle. C’est une peintre qui a puisé sa richesse dans sa double culture issue de part et d’autre de la Méditerranée, raison pour laquelle son nom résonne de si loin. Née à Tanger en 1972, Amina Rezki est partie vivre en Belgique avec sa famille dès son cinquième printemps.
Dans cette contrée enneigée du globe, elle se découvre une passion pour le dessin, dès l’école primaire, passion qu’elle cultive jusqu’à l’âge adulte pour en faire un champ de formation puis un véritable métier. Après avoir suivi une formation à l’Académie des Beaux-Arts de Bruxelles, elle se dévoue à l’éducation de ses huit enfants. Puis, elle décide d’entreprendre des cours intensifs de peinture à l’Académie des Arts d’Uccle à Bruxelles entre 2003 et 2009.
C’est en 2009, alors que son activité artistique commence à se faire une place dans la cour des grands. L’illustre peintre belge Arié Mandelbaum a reconnu son talent en mettant à sa disposition une partie de son atelier, au centre de Bruxelles. C’est le début de la gloire et de la reconnaissance pour Amina Rezki. D’ailleurs, trois de ses oeuvres ont été sélectionnées pour le Wills, le célèbre musée d’art contemporain de Bruxelles.
Ainsi et après d’innombrables exhibitions à succès en Belgique, elle fait découvrir, pour la première fois, son travail aux amateurs d’art de Rabat à la ABgalerie. Néanmoins, en dépit d’une pause de plusieurs années qu’elle a consacrées à l’éducation de ses huit enfants, Amina reprend son pinceau à l’âge de 31 ans et décide de ne plus le quitter.
Par ses tableaux, cette artiste singulière, qui a brillamment concilié vie privée et vie professionnelle, manifeste un profond désir d’écouter ses instincts et d’en révéler la force, la persévérance et la profondeur. Sa particularité : elle explore avec dextérité et aisance son propre univers à partir d’une idée germant au fin fond de son cerveau, et parfois du néant. Ses tableaux, très marqués par la figuration, sont peuplés de visages, de corps et de scènes dantesques enfouis dans ses souvenirs.
Dans cette contrée enneigée du globe, elle se découvre une passion pour le dessin, dès l’école primaire, passion qu’elle cultive jusqu’à l’âge adulte pour en faire un champ de formation puis un véritable métier. Après avoir suivi une formation à l’Académie des Beaux-Arts de Bruxelles, elle se dévoue à l’éducation de ses huit enfants. Puis, elle décide d’entreprendre des cours intensifs de peinture à l’Académie des Arts d’Uccle à Bruxelles entre 2003 et 2009.
C’est en 2009, alors que son activité artistique commence à se faire une place dans la cour des grands. L’illustre peintre belge Arié Mandelbaum a reconnu son talent en mettant à sa disposition une partie de son atelier, au centre de Bruxelles. C’est le début de la gloire et de la reconnaissance pour Amina Rezki. D’ailleurs, trois de ses oeuvres ont été sélectionnées pour le Wills, le célèbre musée d’art contemporain de Bruxelles.
Ainsi et après d’innombrables exhibitions à succès en Belgique, elle fait découvrir, pour la première fois, son travail aux amateurs d’art de Rabat à la ABgalerie. Néanmoins, en dépit d’une pause de plusieurs années qu’elle a consacrées à l’éducation de ses huit enfants, Amina reprend son pinceau à l’âge de 31 ans et décide de ne plus le quitter.
Par ses tableaux, cette artiste singulière, qui a brillamment concilié vie privée et vie professionnelle, manifeste un profond désir d’écouter ses instincts et d’en révéler la force, la persévérance et la profondeur. Sa particularité : elle explore avec dextérité et aisance son propre univers à partir d’une idée germant au fin fond de son cerveau, et parfois du néant. Ses tableaux, très marqués par la figuration, sont peuplés de visages, de corps et de scènes dantesques enfouis dans ses souvenirs.
La LOFT Art Gallery, antre deux l’art contemporain
A été inaugurée en 2009 par Yasmine et Myriem Berrada, toutes deux jeunes femmes mordues de grands challenges professionnels et animées d’une passion commune pour l’art contemporain et ce, au beau milieu du triangle d’or de Casablanca. C’est le coeur battant des activités artistiques haut de gamme de la Cité blanche.
Comme le suggère son nom, la galerie LOFT évoque tout particulièrement les White Cubes du quartier branché de Chelsea à New York. Ceci se manifeste par les vastes espaces ouverts de la galerie, par sa superficie dépassant les 400 m2, ses 7 mètres de hauteur sous plafond, ses sols en béton ciré et ses murs uniformément peints en blanc ... Il s’agit, en termes plus simples, d’une galerie d’art contemporain en bonne et due forme, somme toute !
Comme le suggère son nom, la galerie LOFT évoque tout particulièrement les White Cubes du quartier branché de Chelsea à New York. Ceci se manifeste par les vastes espaces ouverts de la galerie, par sa superficie dépassant les 400 m2, ses 7 mètres de hauteur sous plafond, ses sols en béton ciré et ses murs uniformément peints en blanc ... Il s’agit, en termes plus simples, d’une galerie d’art contemporain en bonne et due forme, somme toute !
