Initié par l’Association marocaine consultative d’utilisation du cannabis (AMCUC), l’organisation du 3ème Congrès international sur l’utilisation thérapeutique du cannabis, a eu pour thème “De la recherche à la pratique médicale”. Ce conclave scientifique a offert l’opportunité aux participants de discuter de plusieurs questions ayant trait aux différents aspects relatifs à l’usage du cannabis à des fins thérapeutiques et à ses bienfaits médicaux.
Le congrès a été aussi l’occasion de mettre l’accent sur les perspectives prometteuses de l’usage du cannabis thérapeutique au Maroc et d’échanger avec des scientifiques de renom, notamment d’Israël, sur leur expérience en matière de recherche et de développement dans le domaine du cannabis.
Dans ce contexte, le professeur Raphael Mechoulam a mis l’accent sur l’importance de ce genre de conclave pour renforcer la recherche et développement en la matière notamment les essais cliniques et la standardisation des produits du cannabis médical. Il s’est dit « convaincu » de la capacité du Maroc à relever le défi, surtout qu’il dispose de tous les atouts nécessaires pour réussir ce chantier », relevant que « nous disposons, au Maroc, de la meilleure plante et nous ne manquons ni de matières grise ni de plateau de recherche ni d’outils de production. Nous avons la confiance totale dans nos industriels, nos universitaires et nos agriculteurs ».D’éminents scientifiques du Maroc et d’ailleurs ont pris part à ce Congrès.
Le congrès a été aussi l’occasion de mettre l’accent sur les perspectives prometteuses de l’usage du cannabis thérapeutique au Maroc et d’échanger avec des scientifiques de renom, notamment d’Israël, sur leur expérience en matière de recherche et de développement dans le domaine du cannabis.
Dans ce contexte, le professeur Raphael Mechoulam a mis l’accent sur l’importance de ce genre de conclave pour renforcer la recherche et développement en la matière notamment les essais cliniques et la standardisation des produits du cannabis médical. Il s’est dit « convaincu » de la capacité du Maroc à relever le défi, surtout qu’il dispose de tous les atouts nécessaires pour réussir ce chantier », relevant que « nous disposons, au Maroc, de la meilleure plante et nous ne manquons ni de matières grise ni de plateau de recherche ni d’outils de production. Nous avons la confiance totale dans nos industriels, nos universitaires et nos agriculteurs ».D’éminents scientifiques du Maroc et d’ailleurs ont pris part à ce Congrès.
