Le nouveau format de traitement électronique des demandes d'octroi de la carte de presse pour cette année a suscité la colère de certains journalistes suite au rejet de leurs dossiers, sans être accompagnés d'une explication.
En réponse à cette polémique, le Syndicat National de la Presse Marocaine a exprimé ses préoccupations lors d'une réunion élargie du Comité de la Carte le 29 décembre, qui a coïncidé avec une protestation des collègues au siège du Conseil National.
"Nous avons présenté des propositions pour surmonter cette polémique, et nous avons même pris la responsabilité de communiquer avec l'opinion publique journalistique pour la rassurer. La direction du syndicat a pris la responsabilité de communiquer directement avec le Comité intérimaire au cours des jours précédents pour accélérer la résolution des déséquilibres enregistrés et présenter des propositions pour résoudre le problème de manière globale, certaines qui doivent être traduits par les décisions de l’Assemblée générale du Comité intérimaire. ", explique le syndicat dans un communiqué de presse.
Pour sa part, l’Association nationale des médias et des éditeurs a réagi également via un communiqué, en y proposant des solutions techniques afin de régler les blocages survenus au niveau de la plateforme électronique. Parmi les solutions proposées, la mise en place d'un comité d'agents (help desk) chargés de communiquer avec les journalistes dont la demande a été rejetée ou bloquée. L'objectif est de les accompagner et les assister durant la procédure de réclamation.
L'Association rappelle que l'ensemble des journalistes ayant un salaire inférieur à 5800 dirhams ont vu leurs demandes refusées. A cet égard, l'ANME plaide pour baisser le seuil du salaire minimum à titre exceptionnel.
En réponse à cette polémique, le Syndicat National de la Presse Marocaine a exprimé ses préoccupations lors d'une réunion élargie du Comité de la Carte le 29 décembre, qui a coïncidé avec une protestation des collègues au siège du Conseil National.
"Nous avons présenté des propositions pour surmonter cette polémique, et nous avons même pris la responsabilité de communiquer avec l'opinion publique journalistique pour la rassurer. La direction du syndicat a pris la responsabilité de communiquer directement avec le Comité intérimaire au cours des jours précédents pour accélérer la résolution des déséquilibres enregistrés et présenter des propositions pour résoudre le problème de manière globale, certaines qui doivent être traduits par les décisions de l’Assemblée générale du Comité intérimaire. ", explique le syndicat dans un communiqué de presse.
Pour sa part, l’Association nationale des médias et des éditeurs a réagi également via un communiqué, en y proposant des solutions techniques afin de régler les blocages survenus au niveau de la plateforme électronique. Parmi les solutions proposées, la mise en place d'un comité d'agents (help desk) chargés de communiquer avec les journalistes dont la demande a été rejetée ou bloquée. L'objectif est de les accompagner et les assister durant la procédure de réclamation.
L'Association rappelle que l'ensemble des journalistes ayant un salaire inférieur à 5800 dirhams ont vu leurs demandes refusées. A cet égard, l'ANME plaide pour baisser le seuil du salaire minimum à titre exceptionnel.