Encadreur, formateur, éducateur, entraineur, manager, expert, il y a un peu de tout chez le Tangérois Nizar Mesbahi qui a opté dans sa longue carrière en basket pour la dynamique du groupe.
L’ayant toujours côtoyé sur le banc de touche ou même dans les vestiaires en pleine réunion avec les joueurs, nous avons relevé chez lui des qualités rares qui ont fait de lui l’homme des grandes circonstances avec pour vocation le défi dans la modestie, le dialogue, le fair-play et surtout la passion du métier.
Impossible d’oublier le jour où il nous a invités dans un hôtel de Fès en tant que journaliste accompagnateur de l’IRT à parler à ses basketteurs pour les motiver et les préparer pour affronter le MAS de Mernissi, la meilleure équipe de l’époque.
Pour lui, la concertation est indispensable pour la réussite d’un chef de groupe : concertation avec les composantes du staff technique et médical, concertation avec les dirigeants, concertation avec les correspondants de la presse.
Bien qu’il parle peu, il adore le dialogue. Pourtant, en dépit de ces qualités qui font la grandeur du technicien dans le sport de la balle orange, il a le défaut de quitter la direction du « navire » quand les choses vont de mal en pire avec l’équipe qu’il entraine. Cela explique bien que le côté matérialiste ne l’intéresse guère dans la mesure où il démissionne évitant le limogeage.
« Quand je sens qu’il m’est impossible de redresser la situation du club, je démissionne », a l’habitude d’expliquer. Avec beaucoup de modestie, il a le sens de l’écoute et adore le suivi de la formation continue.
« On ne peut jamais dire que c’est fini, l’entraineur a tout appris. Toutes les conceptions et les tactiques du basket se renouvellent d’une année à une autre. Il faut être à jour pour suivre le courant », pense-t-il.
A vrai dire, on peut dire qu’il a fait l’orgueil de toute une ville avec la dernière distinction qu’il vient d’obtenir à la Fédération Internationale de basket : le titre d’instructeur FIBA premier degré, un choix au niveau mondial.
Ayant « grimpé » tous les échelons à l’IRT puis qu’il a entrainé et dirigé toutes les catégories, il a beaucoup appris le métier de manager et maintenant il s’apprête à entamer une carrière de haut niveau en acceptant le poste de sélectionneur adjoint de la sélection nationale marocaine.
L’ayant toujours côtoyé sur le banc de touche ou même dans les vestiaires en pleine réunion avec les joueurs, nous avons relevé chez lui des qualités rares qui ont fait de lui l’homme des grandes circonstances avec pour vocation le défi dans la modestie, le dialogue, le fair-play et surtout la passion du métier.
Impossible d’oublier le jour où il nous a invités dans un hôtel de Fès en tant que journaliste accompagnateur de l’IRT à parler à ses basketteurs pour les motiver et les préparer pour affronter le MAS de Mernissi, la meilleure équipe de l’époque.
Pour lui, la concertation est indispensable pour la réussite d’un chef de groupe : concertation avec les composantes du staff technique et médical, concertation avec les dirigeants, concertation avec les correspondants de la presse.
Bien qu’il parle peu, il adore le dialogue. Pourtant, en dépit de ces qualités qui font la grandeur du technicien dans le sport de la balle orange, il a le défaut de quitter la direction du « navire » quand les choses vont de mal en pire avec l’équipe qu’il entraine. Cela explique bien que le côté matérialiste ne l’intéresse guère dans la mesure où il démissionne évitant le limogeage.
« Quand je sens qu’il m’est impossible de redresser la situation du club, je démissionne », a l’habitude d’expliquer. Avec beaucoup de modestie, il a le sens de l’écoute et adore le suivi de la formation continue.
« On ne peut jamais dire que c’est fini, l’entraineur a tout appris. Toutes les conceptions et les tactiques du basket se renouvellent d’une année à une autre. Il faut être à jour pour suivre le courant », pense-t-il.
A vrai dire, on peut dire qu’il a fait l’orgueil de toute une ville avec la dernière distinction qu’il vient d’obtenir à la Fédération Internationale de basket : le titre d’instructeur FIBA premier degré, un choix au niveau mondial.
Ayant « grimpé » tous les échelons à l’IRT puis qu’il a entrainé et dirigé toutes les catégories, il a beaucoup appris le métier de manager et maintenant il s’apprête à entamer une carrière de haut niveau en acceptant le poste de sélectionneur adjoint de la sélection nationale marocaine.
