Jusqu’à l’écriture de ces lignes (mardi 10 janvier), l’avion marocain qui devait rallier Constantine depuis Rabat pour acheminer l’équipe nationale U23 devant participer au CHAN-2022, n’a pas encore reçu l’autorisation d’entrée dans l’espace aérien algérien comme demandé par la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF) à la Confédération Africaine de Football (CAF).
Ledit avion de la Royal Air Maroc (RAM) qui devait, selon la demande légitime exprimée par Fouzi Lekjaa, Président de la FRMF, atterrir ce jour à l’aéroport de Constantine à 10h45 du matin n’a donc finalement même pas décollé, en raison du refus des autorités algériennes de lui délivrer le fameux sésame. En lieu et place, les Algériens auraient officieusement proposé aux Marocains d’emprunter un avion tunisien pour pouvoir atterrir chez eux en provenance de Rabat, via un vol direct.
Cette proposition qui n’a rien d’officiel puisque relayée via des canaux improbables comme ont coutume de le faire nos amis algériens, passés maîtres dans l’art de l’abstraction et de la tergiversation, ne sera certainement pas acceptée par le Maroc. Car, le cas échéant, cela équivaudrait à une renonciation humiliante et donc malvenue à un symbole fort de souveraineté qui est le pavillon national en faveur de celui d’un pays tiers, la Tunisie, avec lequel les relations sont actuellement loin d’être un fleuve tranquille.
A la veille de la célébration par le Maroc de la date symbolique du 11 janvier commémorant le 79ème anniversaire de la publication du courageux «Manifeste de l’indépendance», la proposition algérienne constitue un affront inadmissible. Cette proposition indécente cache mal, en effet, une volonté claire du régime algérien d’humilier notre pays en tentant ne serait-ce que provisoirement de le déposséder de sa souveraineté aérienne, actée dès le mois de juin 1957, soit une année à peine après l’indépendance, par la création de la RAM.
Par conséquent, le Royaume n’a d’autre choix que de boycotter le CHAN, alors que l’Algérie devra répondre devant les instances sportives continentales et internationales de son obstination irresponsable à vouloir mêler la politique au sport. Une attitude antisportive qui pèsera certainement très lourd lors de la prochaine désignation du pays hôte de la CAN 2025 à l’organisation de laquelle le Maroc comme l’Algérie sont de sérieux prétendants.
Ledit avion de la Royal Air Maroc (RAM) qui devait, selon la demande légitime exprimée par Fouzi Lekjaa, Président de la FRMF, atterrir ce jour à l’aéroport de Constantine à 10h45 du matin n’a donc finalement même pas décollé, en raison du refus des autorités algériennes de lui délivrer le fameux sésame. En lieu et place, les Algériens auraient officieusement proposé aux Marocains d’emprunter un avion tunisien pour pouvoir atterrir chez eux en provenance de Rabat, via un vol direct.
Cette proposition qui n’a rien d’officiel puisque relayée via des canaux improbables comme ont coutume de le faire nos amis algériens, passés maîtres dans l’art de l’abstraction et de la tergiversation, ne sera certainement pas acceptée par le Maroc. Car, le cas échéant, cela équivaudrait à une renonciation humiliante et donc malvenue à un symbole fort de souveraineté qui est le pavillon national en faveur de celui d’un pays tiers, la Tunisie, avec lequel les relations sont actuellement loin d’être un fleuve tranquille.
A la veille de la célébration par le Maroc de la date symbolique du 11 janvier commémorant le 79ème anniversaire de la publication du courageux «Manifeste de l’indépendance», la proposition algérienne constitue un affront inadmissible. Cette proposition indécente cache mal, en effet, une volonté claire du régime algérien d’humilier notre pays en tentant ne serait-ce que provisoirement de le déposséder de sa souveraineté aérienne, actée dès le mois de juin 1957, soit une année à peine après l’indépendance, par la création de la RAM.
Par conséquent, le Royaume n’a d’autre choix que de boycotter le CHAN, alors que l’Algérie devra répondre devant les instances sportives continentales et internationales de son obstination irresponsable à vouloir mêler la politique au sport. Une attitude antisportive qui pèsera certainement très lourd lors de la prochaine désignation du pays hôte de la CAN 2025 à l’organisation de laquelle le Maroc comme l’Algérie sont de sérieux prétendants.