Après Yassine Bounou en 2023 et Achraf Hakimi en 2024, c’est désormais Mohamed Ouahbi, entraîneur des U20 du Maroc, champions du monde 2025, qui subit l’injustice.
Le technicien marocain s’est vu déposséder du trophée de “Meilleur coach de l’année”, attribué, avec tout le respect dû, à un lauréat capverdien.
Comment peut-on couronner les U20 marocains et le meilleur jeune joueur du Mondial U20 avec les distinctions collectives et individuelles les plus prestigieuses, tout en écartant celui qui a façonné à la fois le collectif et l’individuel ? C’est une aberration et une profonde injustice.
Le palmarès du lauréat désigné ? Une simple qualification à une Coupe du monde. En face, Ouahbi a guidé son équipe vers le sacre suprême : Championne du Monde !
Et Ouahbi n’est pas le seul lésé. L’entraîneur des Pyramids aurait lui aussi pu prétendre au titre de coach de l’année, au vu de ses exploits : champion d’Égypte, vainqueur de la Ligue des champions, de la Supercoupe de la CAF, et actuellement qualifié pour la demi-finale de la Coupe FIFA des clubs inter-confédérations.
Le technicien marocain s’est vu déposséder du trophée de “Meilleur coach de l’année”, attribué, avec tout le respect dû, à un lauréat capverdien.
Comment peut-on couronner les U20 marocains et le meilleur jeune joueur du Mondial U20 avec les distinctions collectives et individuelles les plus prestigieuses, tout en écartant celui qui a façonné à la fois le collectif et l’individuel ? C’est une aberration et une profonde injustice.
Le palmarès du lauréat désigné ? Une simple qualification à une Coupe du monde. En face, Ouahbi a guidé son équipe vers le sacre suprême : Championne du Monde !
Et Ouahbi n’est pas le seul lésé. L’entraîneur des Pyramids aurait lui aussi pu prétendre au titre de coach de l’année, au vu de ses exploits : champion d’Égypte, vainqueur de la Ligue des champions, de la Supercoupe de la CAF, et actuellement qualifié pour la demi-finale de la Coupe FIFA des clubs inter-confédérations.


















