Rien n’était comme prévu. Le tant attendu derby casablancais s’est terminé sur un score nul, sans vainqueur ni véritable saveur. Et pourtant, Le complexe sportif Mohammed V a vibré comme rarement.
Dans les tribunes, le spectacle était total. Les supporters, fidèles à leur réputation, ont transformé l’enceinte en un volcan de passion : chants, tifos, fumigènes… tout y était. Une ferveur populaire exceptionnelle, reflet de l’âme du football casablancais.
Sur la pelouse, en revanche, le match n’a pas tenu ses promesses. Peu d’occasions franches, un jeu brouillon, une intensité absente… Les deux équipes ont semblé se neutraliser plutôt que de s’affronter. Le nul final reflète davantage la prudence que l’ambition.
Et comme si cela ne suffisait pas, le match n’a pas bénéficié de la mise en valeur qu’il mérite. Les images, souvent mal cadrées, peinaient à retransmettre la chaleur du public ; les commentaires manquaient d’analyse, se limitant à la surface des événements. On attendait un récit vibrant, une lecture tactique ou émotionnelle du derby — on a eu un simple compte-rendu.
Le contraste était frappant : dans les gradins, la passion à son apogée ; sur le terrain et à l’écran, une impression de vide.
Le football casablancais mérite mieux — mieux sur le plan du jeu, mieux dans la manière de le raconter.
Dans les tribunes, le spectacle était total. Les supporters, fidèles à leur réputation, ont transformé l’enceinte en un volcan de passion : chants, tifos, fumigènes… tout y était. Une ferveur populaire exceptionnelle, reflet de l’âme du football casablancais.
Sur la pelouse, en revanche, le match n’a pas tenu ses promesses. Peu d’occasions franches, un jeu brouillon, une intensité absente… Les deux équipes ont semblé se neutraliser plutôt que de s’affronter. Le nul final reflète davantage la prudence que l’ambition.
Et comme si cela ne suffisait pas, le match n’a pas bénéficié de la mise en valeur qu’il mérite. Les images, souvent mal cadrées, peinaient à retransmettre la chaleur du public ; les commentaires manquaient d’analyse, se limitant à la surface des événements. On attendait un récit vibrant, une lecture tactique ou émotionnelle du derby — on a eu un simple compte-rendu.
Le contraste était frappant : dans les gradins, la passion à son apogée ; sur le terrain et à l’écran, une impression de vide.
Le football casablancais mérite mieux — mieux sur le plan du jeu, mieux dans la manière de le raconter.






















