C’est au beau milieu d’une myriade de chêne-lièges, de cèdres et de thuyas, à la croisée des plaines et vallées de la route de Sidi Yehya Zaïer, que se dresse une végétation plantureuse et luxuriante et devant laquelle l’on se confond, d’emblée, d’admiration. Aïn Dakhla, pour la nommer, est une localité mythique aux airs d’ailleurs devenue une destination eldoradesque pour d’aucuns.
Plébiscité par des médecins chevronnés et moult sportifs de haut niveau pour son microclimat exemplaire, ce bout de forêt tout de vert vêtu voit affluer, au gré des saisons, des foules de randonneurs, cyclistes, organisateurs de marathons et semi-marathons, ou des pique-niqueurs voraces d’air frais et d’envie de se requinquer les batteries.
Pour des raisons de proximité, les habitants de Casablanca-Settat et Rabat-Salé-Kénitra s’y rendent en bon nombre, au grand bonheur des grands et des petits, et ce, dès que la température dépasse les 25°C. «J’habite non loin de la plage David de Bouznika. Seul hic : mes deux filles qui se plaignent à longueur de journée du temps qu’il fait ne savent pas nager. Que faire à part les amener ici », s’interroge, non sans un brin de sarcasme, Najia, une mère au foyer, sirotant paisiblement son mug thermique sentant le thé à la menthe à des lieues à la ronde. «La forêt est si fraîche et est embaumée d’air côtier. Et dire que nous sommes en plein mi-août », remarque-t-elle.
Aïn Dakhla, la séculaire
Interrogé par nos soins, un retraité de l’ancienne administration française se souvient que du temps du protectorat, Louis Hubert Lyautey aimait à se promener à dos de cheval en compagnie de ses soldats au coeur même de cette longue allée qui mène vers la route de Bouznika. Ce fut il y a moins d’un siècle, quand Benslimane, la province où Aïn Dakhla est située, était communément appelée Camp Boulhaut, en référence à un soldat français qui y a rendu l’âme.
Aujourd’hui, cette localité est devenue le paradis rêvé des agences de voyages et d’excursions qui y organisent régulièrement des randonnées, des courses et autres activités sportives. Sur les réseaux sociaux, des groupes de sportifs férus de challenges kilométriques lui sont entièrement dédiés.
Plébiscité par des médecins chevronnés et moult sportifs de haut niveau pour son microclimat exemplaire, ce bout de forêt tout de vert vêtu voit affluer, au gré des saisons, des foules de randonneurs, cyclistes, organisateurs de marathons et semi-marathons, ou des pique-niqueurs voraces d’air frais et d’envie de se requinquer les batteries.
Pour des raisons de proximité, les habitants de Casablanca-Settat et Rabat-Salé-Kénitra s’y rendent en bon nombre, au grand bonheur des grands et des petits, et ce, dès que la température dépasse les 25°C. «J’habite non loin de la plage David de Bouznika. Seul hic : mes deux filles qui se plaignent à longueur de journée du temps qu’il fait ne savent pas nager. Que faire à part les amener ici », s’interroge, non sans un brin de sarcasme, Najia, une mère au foyer, sirotant paisiblement son mug thermique sentant le thé à la menthe à des lieues à la ronde. «La forêt est si fraîche et est embaumée d’air côtier. Et dire que nous sommes en plein mi-août », remarque-t-elle.
Aïn Dakhla, la séculaire
Interrogé par nos soins, un retraité de l’ancienne administration française se souvient que du temps du protectorat, Louis Hubert Lyautey aimait à se promener à dos de cheval en compagnie de ses soldats au coeur même de cette longue allée qui mène vers la route de Bouznika. Ce fut il y a moins d’un siècle, quand Benslimane, la province où Aïn Dakhla est située, était communément appelée Camp Boulhaut, en référence à un soldat français qui y a rendu l’âme.
Aujourd’hui, cette localité est devenue le paradis rêvé des agences de voyages et d’excursions qui y organisent régulièrement des randonnées, des courses et autres activités sportives. Sur les réseaux sociaux, des groupes de sportifs férus de challenges kilométriques lui sont entièrement dédiés.
Quid du Royal Golf El Menzeh ?
Les mordus du swing, des birdies, des doglegs et des bunkers de la région de Casablanca savent où aller en cette période de folles chaleurs. Qu’ils soient novices ou exercés, jeunes ou moins jeunes, ils sont légion à se rendre au Royal Golf El Menzeh.
Située à mi-chemin entre les capitales économique et administrative du Royaume, côté forêt, Benslimane est nichée sur une région qui jouit de la plus grande étendue sylvestre du Maroc et c’est pour cela qu’il y a été implantée. 200 hectares. Telle est l’étendue de ce golf à l’empreinte historique indélébile. Laquelle histoire, séculaire, lui a valu sa réputation de fleuron des golfs du Royaume. Son microclimat particulier lui a rendu toutes ses lettres de noblesse. Longeant le pourtour d’un lac démesuré, son immense parcours présente moult obstacles d’eau, rendant l’expérience golfique encore plus intense.