Interrogé par l'opposition sur l'avancement du programme de création de maisons de jeunes et de centres culturels dans les zones rurales, le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, a mis en évidence que 40 % de ces infrastructures sont situées dans les zones rurales. Cependant, il a souligné que la mise en place de nouveaux centres est actuellement entravée par une pénurie de ressources humaines.
Actuellement, même pour les centres déjà établis, l'annonce officielle de leur ouverture représente un défi majeur en raison de la même problématique, fait savoir le ministre, notant que son département se focalise, aujourd’hui, sur l'animation des infrastructures déjà mises en place, et à cet égard, le ministère
a proposé plusieurs mesures, notamment des partenariats avec les régions du Royaume, afin d'établir des fondations pour faire face à cette problématique.
C'est une source de frustration quotidienne pour les jeunes de constater l'existence de centres dans leurs quartiers qui ne proposent aucun service culturel. C'est pourquoi nous nous sommes fixé pour objectif initial de mettre en place une stratégie de formation visant à recruter un nombre suffisant de ressources humaines qualifiées, conclut Mohamed Mehdi Bensaid.
Actuellement, même pour les centres déjà établis, l'annonce officielle de leur ouverture représente un défi majeur en raison de la même problématique, fait savoir le ministre, notant que son département se focalise, aujourd’hui, sur l'animation des infrastructures déjà mises en place, et à cet égard, le ministère
a proposé plusieurs mesures, notamment des partenariats avec les régions du Royaume, afin d'établir des fondations pour faire face à cette problématique.
C'est une source de frustration quotidienne pour les jeunes de constater l'existence de centres dans leurs quartiers qui ne proposent aucun service culturel. C'est pourquoi nous nous sommes fixé pour objectif initial de mettre en place une stratégie de formation visant à recruter un nombre suffisant de ressources humaines qualifiées, conclut Mohamed Mehdi Bensaid.