En réponse à une question orale à la Chambre des représentants sur "la lutte contre le décrochage scolaire", M. Benmoussa a fait savoir que le nombre de sortants du système éducatif a diminué de 12% passant ainsi de 334.000 durant la saison 2021-2022 à 294.000 pour l'année scolaire 2022-2023, estimant que ce chiffre demeure "encore élevé".
Il a expliqué que le ministère a pris une série de mesures visant à lutter contre le décrochage scolaire, notamment la révision du cadre juridique pour établir un numéro d'identification unifié à même de suivre individuellement les élèves, et la généralisation du préscolaire en tant que facteur essentiel pour la réduction du nombre d'abandons scolaires, ainsi que l'accompagnement individuel des élèves, en comblant les lacunes et en améliorant le soutien scolaire aux élèves confrontés à des difficultés d'apprentissage, comme c'est le cas dans les écoles pionnières.
Il s'agit aussi, selon le ministre, d'améliorer l'attractivité des établissements scolaires, à travers des activités parallèles, la promotion du système d'orientation scolaire et professionnelle, et du rattrapage via les écoles de la deuxième chance, ainsi que le renforcement des prestations de soutien social (allocations familiales sous conditions, transport scolaire et internats).
Et d'ajouter que le phénomène du décrochage scolaire est complexe, lequel plusieurs facteurs y contribuent, "ce qui nécessite de parvenir à la convergence de toutes les parties prenantes afin de lutter contre ce phénomène".
Il a expliqué que le ministère a pris une série de mesures visant à lutter contre le décrochage scolaire, notamment la révision du cadre juridique pour établir un numéro d'identification unifié à même de suivre individuellement les élèves, et la généralisation du préscolaire en tant que facteur essentiel pour la réduction du nombre d'abandons scolaires, ainsi que l'accompagnement individuel des élèves, en comblant les lacunes et en améliorant le soutien scolaire aux élèves confrontés à des difficultés d'apprentissage, comme c'est le cas dans les écoles pionnières.
Il s'agit aussi, selon le ministre, d'améliorer l'attractivité des établissements scolaires, à travers des activités parallèles, la promotion du système d'orientation scolaire et professionnelle, et du rattrapage via les écoles de la deuxième chance, ainsi que le renforcement des prestations de soutien social (allocations familiales sous conditions, transport scolaire et internats).
Et d'ajouter que le phénomène du décrochage scolaire est complexe, lequel plusieurs facteurs y contribuent, "ce qui nécessite de parvenir à la convergence de toutes les parties prenantes afin de lutter contre ce phénomène".