"Nous accumulons des problèmes et des contraintes sans réformer, au point d’avoir fragiliser notre gouvernance", c’est ainsi que la ministre de l’énergie, Leila Benali, a expliqué les raisons derrières les lacunes du secteur de l’énergie au Maroc, lors d’une réunion houleuse à la Chambre des Conseillers.
En réponse aux interventions des conseillers, lors des discussions du budget sectoriel de son département à commission des secteurs productifs, la ministre n’y est pas allé de main morte, déclarant qu’elle n’accepterait aucune allégation prétendant «que le ministère n’a pas bien géré ses dossiers, car il a fait beaucoup plus en arrangeant des affaires chamboulées depuis plus de 15 ans».
Benali a indiqué que depuis la guerre en Irak, le Maroc accumule les problèmes et les contraintes au niveau du secteur, sans engager de réformes, soulignant qu’au cours des dernières années, l'État a régressé au niveau de la planification et il y a eu plusieurs obstacles.
La ministre a souligné la nécessité d’améliorer la gouvernance du secteur, non seulement, en organisant le ministère, mais également toutes les instances concernées par la gestion des énergies, ajoutant qu’aujourd’hui le Royaume est engagé dans une importante dynamique de réforme et qu’il est impossible de «réformer les dossiers de manière isolée».
Dans le même contexte, Benali a indiqué que le rythme de la réforme, qui a débuté au ministère de la Transition énergétique en 2022, n'a pas été entrepris depuis 20 ans, notant que s'il n'y a pas d'accord dans les deux prochaines années entre la majorité et l'opposition, cette réforme serait vouée à l’échec.
En réponse aux interventions des conseillers, lors des discussions du budget sectoriel de son département à commission des secteurs productifs, la ministre n’y est pas allé de main morte, déclarant qu’elle n’accepterait aucune allégation prétendant «que le ministère n’a pas bien géré ses dossiers, car il a fait beaucoup plus en arrangeant des affaires chamboulées depuis plus de 15 ans».
Benali a indiqué que depuis la guerre en Irak, le Maroc accumule les problèmes et les contraintes au niveau du secteur, sans engager de réformes, soulignant qu’au cours des dernières années, l'État a régressé au niveau de la planification et il y a eu plusieurs obstacles.
La ministre a souligné la nécessité d’améliorer la gouvernance du secteur, non seulement, en organisant le ministère, mais également toutes les instances concernées par la gestion des énergies, ajoutant qu’aujourd’hui le Royaume est engagé dans une importante dynamique de réforme et qu’il est impossible de «réformer les dossiers de manière isolée».
Dans le même contexte, Benali a indiqué que le rythme de la réforme, qui a débuté au ministère de la Transition énergétique en 2022, n'a pas été entrepris depuis 20 ans, notant que s'il n'y a pas d'accord dans les deux prochaines années entre la majorité et l'opposition, cette réforme serait vouée à l’échec.