Leïla Benali, ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, a assuré que « le ministère s'emploie à accélérer les projets liés aux capacités de stockage, et a exhorté les compagnies pétrolières à relever le niveau des stocks, afin d'assurer l'approvisionnement régulier et dans les meilleures conditions du marché national ».
La responsable gouvernementale a indiqué, en réponse à une question parlementaire, que le ministère a lancé, le 13 octobre 2022, en partenariat avec le département de l'Equipement et de l'Eau, les travaux du Comité de planification des infrastructures énergétiques, lequel planche sur la planification énergétique en termes de flux réguliers et équilibrés, et la mise à disposition des infrastructures nécessaires afin d'améliorer la compétitivité logistique du Maroc, d'une part, et préserver la sécurité énergétique du Royaume, d'autre part.
Dans le même contexte, Benali a précisé que les résultats de cette étude seront utilisés après son achèvement afin de mettre en place un nouveau système de gestion des stocks de réserve, dans le cadre d'un partenariat entre les secteurs public et privé.
Il s’agit en l’occurrence de renforcer le stock de matières pétrolières selon le niveau requis par la législation en vigueur, tout en veillant à ce que les capacités de stockage soient réparties de manière équilibrée sur l'ensemble du Royaume.
Dans sa réponse parlementaire, la ministre a souligné que « le ministère tient à sécuriser l'approvisionnement en matières pétrolières du marché national à la lumière des défis auxquels le monde est confronté, en travaillant sur un suivi quotidien et précis de l'état des stocks et des programmes d'importation des sociétés distribuant ces matières».
Il convient de noter que ces mesures interviennent dans des conditions décrites par les experts comme étant des plus critiques depuis des décennies, en raison d'une pénurie d'approvisionnement, des prix élevés du gaz naturel et des matières énergétiques, combinés à un amenuisement des stocks.
Il est à rappeler que le Maroc s’est résolument engagé dans des options alternatives, en se positionnant comme acteur fiable dans la production d’hydrogène vert, et ce, grâce à la diversité de ses partenariats et de ses collaborations, notamment avec l’Allemagne, les Pays-Bas et l’UE.
Sa feuille de route pour l’hydrogène vert, élaborée en 2021, et la création d’un Cluster national de l’Hydrogène Vert (Green H2) s’annoncent comme des initiatives phares dans ce domaine. Cependant, le développement de cette filière implique d’appréhender objectivement les questions stratégiques du développement du marché local par rapport au marché à l’export.
La responsable gouvernementale a indiqué, en réponse à une question parlementaire, que le ministère a lancé, le 13 octobre 2022, en partenariat avec le département de l'Equipement et de l'Eau, les travaux du Comité de planification des infrastructures énergétiques, lequel planche sur la planification énergétique en termes de flux réguliers et équilibrés, et la mise à disposition des infrastructures nécessaires afin d'améliorer la compétitivité logistique du Maroc, d'une part, et préserver la sécurité énergétique du Royaume, d'autre part.
Dans le même contexte, Benali a précisé que les résultats de cette étude seront utilisés après son achèvement afin de mettre en place un nouveau système de gestion des stocks de réserve, dans le cadre d'un partenariat entre les secteurs public et privé.
Il s’agit en l’occurrence de renforcer le stock de matières pétrolières selon le niveau requis par la législation en vigueur, tout en veillant à ce que les capacités de stockage soient réparties de manière équilibrée sur l'ensemble du Royaume.
Dans sa réponse parlementaire, la ministre a souligné que « le ministère tient à sécuriser l'approvisionnement en matières pétrolières du marché national à la lumière des défis auxquels le monde est confronté, en travaillant sur un suivi quotidien et précis de l'état des stocks et des programmes d'importation des sociétés distribuant ces matières».
Il convient de noter que ces mesures interviennent dans des conditions décrites par les experts comme étant des plus critiques depuis des décennies, en raison d'une pénurie d'approvisionnement, des prix élevés du gaz naturel et des matières énergétiques, combinés à un amenuisement des stocks.
Il est à rappeler que le Maroc s’est résolument engagé dans des options alternatives, en se positionnant comme acteur fiable dans la production d’hydrogène vert, et ce, grâce à la diversité de ses partenariats et de ses collaborations, notamment avec l’Allemagne, les Pays-Bas et l’UE.
Sa feuille de route pour l’hydrogène vert, élaborée en 2021, et la création d’un Cluster national de l’Hydrogène Vert (Green H2) s’annoncent comme des initiatives phares dans ce domaine. Cependant, le développement de cette filière implique d’appréhender objectivement les questions stratégiques du développement du marché local par rapport au marché à l’export.
