Le ministre Baraka a partagé ces informations lors de la conférence de presse qui a suivi la réunion du Conseil du gouvernoument ce jeudi. Il a expliqué que le choix de ce groupe d'investisseurs, bien que leur identité soit gardée confidentielle, repose sur leur proposition tarifaire exceptionnellement basse, qualifiée d'"historique" au Maroc.
Selon Baraka, le coût habituel du dessalement de l'eau de mer à Agadir est de 10 dirhams par mètre cube, tandis que pour l'Office Chérifien des Phosphates, il atteint 5,88 dirhams par mètre cube. Le contrat, supervisé par l'Office National de l'Eau Potable, entrera en vigueur dès janvier prochain.
Le ministre a également souligné que les accords de partenariat entre SM le Roi Mohammed VI et le président des Émirats arabes unis prévoient des investissements supplémentaires dans le domaine du dessalement de l'eau de mer. Tous les contrats de stations de dessalement d'eau de mer seront mis en œuvre à partir de 2024 dans le cadre de ces investissements à venir.
À noter que Baraka a présenté des chiffres alarmants sur la situation hydrique au Maroc, la qualifiant de "très grave" en raison du déficit pluviométrique persistant, prolongeant la sécheresse pour la cinquième année consécutive. Il a souligné que "le Maroc n'a jamais connu une sécheresse comme celle que nous avons vécue ces dernières années depuis 2019".
Selon Baraka, le coût habituel du dessalement de l'eau de mer à Agadir est de 10 dirhams par mètre cube, tandis que pour l'Office Chérifien des Phosphates, il atteint 5,88 dirhams par mètre cube. Le contrat, supervisé par l'Office National de l'Eau Potable, entrera en vigueur dès janvier prochain.
Le ministre a également souligné que les accords de partenariat entre SM le Roi Mohammed VI et le président des Émirats arabes unis prévoient des investissements supplémentaires dans le domaine du dessalement de l'eau de mer. Tous les contrats de stations de dessalement d'eau de mer seront mis en œuvre à partir de 2024 dans le cadre de ces investissements à venir.
À noter que Baraka a présenté des chiffres alarmants sur la situation hydrique au Maroc, la qualifiant de "très grave" en raison du déficit pluviométrique persistant, prolongeant la sécheresse pour la cinquième année consécutive. Il a souligné que "le Maroc n'a jamais connu une sécheresse comme celle que nous avons vécue ces dernières années depuis 2019".