Intervenant devant les parlementaires, Baraka a rappelé que le pays fait face à une situation critique liée à la rareté de l’eau, après sept années consécutives de sécheresse. Il a réaffirmé que des mesures exceptionnelles sont mises en œuvre pour atténuer l’impact de cette crise, en réponse notamment à une alerte concernant une coupure d’eau de 72 heures à Khouribga.
Le ministre a souligné que « la volonté royale est claire. Elle vise à garantir un accès sécurisé à l’eau potable pour tous les citoyens », reposant sur plusieurs leviers stratégiques, dont la mobilisation des barrages, le dessalement de l’eau de mer, avec un objectif de production de 1,7 milliard de mètres cubes d’ici 2030, ainsi que le forage de puits d’exploration.
Dans le cadre du Programme national de l’eau potable 2020-2027, Nizar Baraka a annoncé une révision ambitieuse du plan initial, qui prévoit désormais la construction de 150 nouveaux barrages entre 2027 et 2028. À ce jour, 16 grands barrages sont déjà en chantier, permettant d’augmenter la capacité de stockage actuelle de 20,5 milliards de mètres cubes de 4 milliards supplémentaires. Parallèlement, entre 40 et 44 petits barrages sont également planifiés en collaboration avec les régions.
Par ailleurs, le ministre a fait état de la mise en œuvre d’un projet stratégique de transfert d’eau entre le bassin du Bouregreg et celui de l’Oum Rbia, qui permettra de réorienter 800 millions de mètres cubes auparavant déversés en mer. Cette opération profitera notamment au barrage Al Massira.
Concernant l’utilisation de l’eau dessalée, Baraka a tenu à rassurer les citoyens en précisant que « l’eau issue des stations de dessalement ne présente aucun danger pour la santé ».
"Une étude environnementale préalable est systématiquement menée pour choisir les sites adaptés." a expliqué le ministre.
Concernant la saumure, qui constitue environ 40 % du volume, des solutions de réutilisation sont en cours d’examen, en particulier pour un usage industriel.
Interrogé sur la question des cultures fortement consommatrices d’eau dans certaines zones sensibles, en particulier les oasis, le ministre a évoqué les mesures prises, comme à Tata. Il a appelé à une gestion territorialisée des ressources hydriques, en veillant au respect des droits sociaux des populations locales.
Le ministre a souligné que « la volonté royale est claire. Elle vise à garantir un accès sécurisé à l’eau potable pour tous les citoyens », reposant sur plusieurs leviers stratégiques, dont la mobilisation des barrages, le dessalement de l’eau de mer, avec un objectif de production de 1,7 milliard de mètres cubes d’ici 2030, ainsi que le forage de puits d’exploration.
Dans le cadre du Programme national de l’eau potable 2020-2027, Nizar Baraka a annoncé une révision ambitieuse du plan initial, qui prévoit désormais la construction de 150 nouveaux barrages entre 2027 et 2028. À ce jour, 16 grands barrages sont déjà en chantier, permettant d’augmenter la capacité de stockage actuelle de 20,5 milliards de mètres cubes de 4 milliards supplémentaires. Parallèlement, entre 40 et 44 petits barrages sont également planifiés en collaboration avec les régions.
Par ailleurs, le ministre a fait état de la mise en œuvre d’un projet stratégique de transfert d’eau entre le bassin du Bouregreg et celui de l’Oum Rbia, qui permettra de réorienter 800 millions de mètres cubes auparavant déversés en mer. Cette opération profitera notamment au barrage Al Massira.
Concernant l’utilisation de l’eau dessalée, Baraka a tenu à rassurer les citoyens en précisant que « l’eau issue des stations de dessalement ne présente aucun danger pour la santé ».
"Une étude environnementale préalable est systématiquement menée pour choisir les sites adaptés." a expliqué le ministre.
Concernant la saumure, qui constitue environ 40 % du volume, des solutions de réutilisation sont en cours d’examen, en particulier pour un usage industriel.
Interrogé sur la question des cultures fortement consommatrices d’eau dans certaines zones sensibles, en particulier les oasis, le ministre a évoqué les mesures prises, comme à Tata. Il a appelé à une gestion territorialisée des ressources hydriques, en veillant au respect des droits sociaux des populations locales.