Selon la source, ce financement additionnel accompagnera deux aspects clés de la réforme de la protection sociale à savoir le renforcement du soutien aux programmes de transferts monétaires existants du gouvernement et la mise en œuvre du nouveau programme d’assurance maladie destiné aux ménages vulnérables.
Ce prêt ajoutera également une composante permettant d’améliorer le système d’information des programmes d’assistance sociale pour les groupes vulnérables, notamment les personnes en situation d’handicap. Ce financement permettra d’assurer une transition harmonieuse entre les programmes de transfert monétaires existants et le programme d’allocations familiales universelles.
En outre, ce prêt accompagnera la mise en œuvre du programme AMO-TADAMON, pierre angulaire de protection des ménages – particulièrement les plus vulnérables – face aux risques sanitaires susceptibles d’être exacerbés par les retombées du changement climatique, précise-t-on.
« Étant donné l’importance de ces programmes pour le bien-être et la résilience des ménages, mais aussi pour garantir la continuité des prestations qu’ils accordent, il est essentiel de numériser les paiements et de moderniser le système d’information de gestion pour une transition réussie vers le nouveau système envisagé par la réforme de la protection sociale », a affirmé Mehdi Barouni, économiste sénior et responsable du programme à la Banque mondiale.
Pour rappel, la Banque mondiale a déjà accordé un financement au Maroc portant sur 400 millions de dollars en décembre 2020, afin de soutenir le chantier de la protection sociale. « Le Maroc, qui a réagi de manière rapide et décisive pour aider les plus vulnérables face à la pandémie de COVID-19, accélère désormais ses réformes pour renforcer son système de protection sociale — une initiative que la Banque mondiale est fière de soutenir », avait indiqué le directeur des opérations de la Banque mondiale pour le Maghreb, Jesko Hentschel, cité dans un communiqué de l'institution financière.
Ce prêt ajoutera également une composante permettant d’améliorer le système d’information des programmes d’assistance sociale pour les groupes vulnérables, notamment les personnes en situation d’handicap. Ce financement permettra d’assurer une transition harmonieuse entre les programmes de transfert monétaires existants et le programme d’allocations familiales universelles.
En outre, ce prêt accompagnera la mise en œuvre du programme AMO-TADAMON, pierre angulaire de protection des ménages – particulièrement les plus vulnérables – face aux risques sanitaires susceptibles d’être exacerbés par les retombées du changement climatique, précise-t-on.
« Étant donné l’importance de ces programmes pour le bien-être et la résilience des ménages, mais aussi pour garantir la continuité des prestations qu’ils accordent, il est essentiel de numériser les paiements et de moderniser le système d’information de gestion pour une transition réussie vers le nouveau système envisagé par la réforme de la protection sociale », a affirmé Mehdi Barouni, économiste sénior et responsable du programme à la Banque mondiale.
Pour rappel, la Banque mondiale a déjà accordé un financement au Maroc portant sur 400 millions de dollars en décembre 2020, afin de soutenir le chantier de la protection sociale. « Le Maroc, qui a réagi de manière rapide et décisive pour aider les plus vulnérables face à la pandémie de COVID-19, accélère désormais ses réformes pour renforcer son système de protection sociale — une initiative que la Banque mondiale est fière de soutenir », avait indiqué le directeur des opérations de la Banque mondiale pour le Maghreb, Jesko Hentschel, cité dans un communiqué de l'institution financière.
