La hausse du prix des tomates, sujet qui envenime le débat politique au Royaume, était au menu du point de presse de ce jeudi.
Se voulant rassurant, Baitas a indiqué que "si la production ne dépasse pas la demande, elle y est égale. C'est important". Et d'ajouter : "Quand j'ai parlé la semaine dernière de la baisse du prix de la tomate en deux jours, j'ai parlé précisément du marché de gros à Inezgane. C'est inacceptable qu'elles soient vendues à 5 dirhams le kilo à Inezgane et à 12 dirhams à Rabat", s'indigne-t-il.
Ainsi, le prix de la tomate ne devrait pas dépasser 7 à 8 dirhams, en comptant la marge bénéficiaire et les frais de transport Il a imputé la flambée du prix de la tomate à la multiplication des intermédiaires et aux défaillances des marchés de gros. Des dysfonctionnements pointés du doigt par la Cour des Comptes dans son dernier rapport publié lundi dernier. Selon celle-ci, "les prix homologués ne reflètent pas les prix pratiqués sur les marchés de gros".
Indiquant que la hausse excessive du prix de la tomate est due à la multiplication des intermédiaires, elle a souligné la nécessité de procéder à la réforme des marchés de gros de fruits et de légumes pour contrôler les prix.
Se voulant rassurant, Baitas a indiqué que "si la production ne dépasse pas la demande, elle y est égale. C'est important". Et d'ajouter : "Quand j'ai parlé la semaine dernière de la baisse du prix de la tomate en deux jours, j'ai parlé précisément du marché de gros à Inezgane. C'est inacceptable qu'elles soient vendues à 5 dirhams le kilo à Inezgane et à 12 dirhams à Rabat", s'indigne-t-il.
Ainsi, le prix de la tomate ne devrait pas dépasser 7 à 8 dirhams, en comptant la marge bénéficiaire et les frais de transport Il a imputé la flambée du prix de la tomate à la multiplication des intermédiaires et aux défaillances des marchés de gros. Des dysfonctionnements pointés du doigt par la Cour des Comptes dans son dernier rapport publié lundi dernier. Selon celle-ci, "les prix homologués ne reflètent pas les prix pratiqués sur les marchés de gros".
Indiquant que la hausse excessive du prix de la tomate est due à la multiplication des intermédiaires, elle a souligné la nécessité de procéder à la réforme des marchés de gros de fruits et de légumes pour contrôler les prix.