Le nombre de candidats aux examens du baccalauréat au titre de la session 2022 a augmenté de 8%, selon le ministre de l’Éducation nationale, du préscolaire et des sports, Chakib Benmoussa s’exprimant lors d’un exposé sur lesdits examens au cours du Conseil de gouvernement tenu jeudi 9 juin. Et d’assurer que toutes les mesures garantissant le déroulement de l’examen national dans un climat de transparence, d’intégrité et d’égalité des chances ont été prises.
Pour se mettre à niveau en matière de lutte contre les nouvelles méthodes employées pour tricher, le ministère de l’Éducation nationale est constamment à pied d’oeuvre a assuré le directeur du Centre national de l’évaluation et des examens, Mohamed Sassi, interviewé par nos confrères d’«Assahra Al Maghribiya».
Une mobilisation qui a permis de réduire de 50 % le taux de triche aux examens du baccalauréat ces dernières années, depuis notamment l’entrée en vigueur de la loi 02.13 relative à la répression des fraudes aux examens scolaires.
Cette loi, souligne M. Sassi, a étendu le champ de la répression de la fraude, en plus des candidats, à tous les acteurs qui la facilitent. Sans oublier le rôle des élèves et leurs parents dans la lutte contre la triche, Mohamed Sassi a rappelé qu’ils ont été sensibilisés à ce fléau et que les équipes du ministère s’emploient à rassembler les réponses diffusées sur les réseaux sociaux pour les mettre à la disposition des commissions de correction.
Pour se mettre à niveau en matière de lutte contre les nouvelles méthodes employées pour tricher, le ministère de l’Éducation nationale est constamment à pied d’oeuvre a assuré le directeur du Centre national de l’évaluation et des examens, Mohamed Sassi, interviewé par nos confrères d’«Assahra Al Maghribiya».
Une mobilisation qui a permis de réduire de 50 % le taux de triche aux examens du baccalauréat ces dernières années, depuis notamment l’entrée en vigueur de la loi 02.13 relative à la répression des fraudes aux examens scolaires.
Cette loi, souligne M. Sassi, a étendu le champ de la répression de la fraude, en plus des candidats, à tous les acteurs qui la facilitent. Sans oublier le rôle des élèves et leurs parents dans la lutte contre la triche, Mohamed Sassi a rappelé qu’ils ont été sensibilisés à ce fléau et que les équipes du ministère s’emploient à rassembler les réponses diffusées sur les réseaux sociaux pour les mettre à la disposition des commissions de correction.
