Sous le thème “la préservation du Malhoune, ce patrimoine marocain, est une priorité nationale”, l’Association provinciale des affaires culturelles d’El Jadida organise du 14 au 16 juillet 2022, avec le soutien du Groupe OCP, de l’Académie du Royaume, du Conseil provincial, de la commune territoriale d’Azemmour et en collaboration avec la Direction provinciale de la Culture et de la Communication, la 10e édition du Festival international de l’art du Malhoune «Malhounyat Azemmour ».
Organisée à la place Ibrahim Moul-Niss, cette édition coïncide avec la reprise des activités culturelles au Maroc, après une pause obligée à cause de la pandémie de la Covid-19. « Le Malhoune reste un art qui simplifie les préceptes religieux et les bonnes pratiques tout en évitant l’isolement et prônant l’ouverture sur le monde », précise- t-on dans un communiqué parvenu à notre équipe de rédaction.
En effet, aujourd’hui, l’art du Malhoune et ses poètes marocains risquent de se perdre et disparaître de la mémoire collective alors qu’ils occupent une place importante dans l’Histoire culturelle du Maroc, ajoute-t-on dans la même source.
Ainsi, relèvent les organisateurs, la préservation de ce patrimoine est devenue une priorité nationale parce qu’il est important de prendre conscience de son importance pour l’individu tout comme pour la société marocaine. Il faut en rappeler les rôles historiques et culturels de protéger la société marocaine de la dérive et l’éloigner de toute intégrisme et ignorance, et enfin de protéger ce joyau contre l’exploitation non-culturelle, la contrefaçon et la falsification historique.
L’édition de recueils des poètes du Malhoune, le projet d’inscription de cet art sur la liste du patrimoine immatériel de l’UNESCO, ainsi que le nouveau dispositif législatif régissant l’organisation de l’Académie Royale Marocaine, continuent le début du processus de sa préservation.
Cette institution est consciente de l’importance de cet art, dont la conservation constitue une priorité nationale. Ce sont ces convictions qui ont conduit à la création en 2011 des Malhounyat croyant avec ferveur en la cause du patrimoine et l’identité nationale comme moyen de préserver l’unité de la Ouma et de la patrie.
Organisée à la place Ibrahim Moul-Niss, cette édition coïncide avec la reprise des activités culturelles au Maroc, après une pause obligée à cause de la pandémie de la Covid-19. « Le Malhoune reste un art qui simplifie les préceptes religieux et les bonnes pratiques tout en évitant l’isolement et prônant l’ouverture sur le monde », précise- t-on dans un communiqué parvenu à notre équipe de rédaction.
En effet, aujourd’hui, l’art du Malhoune et ses poètes marocains risquent de se perdre et disparaître de la mémoire collective alors qu’ils occupent une place importante dans l’Histoire culturelle du Maroc, ajoute-t-on dans la même source.
Ainsi, relèvent les organisateurs, la préservation de ce patrimoine est devenue une priorité nationale parce qu’il est important de prendre conscience de son importance pour l’individu tout comme pour la société marocaine. Il faut en rappeler les rôles historiques et culturels de protéger la société marocaine de la dérive et l’éloigner de toute intégrisme et ignorance, et enfin de protéger ce joyau contre l’exploitation non-culturelle, la contrefaçon et la falsification historique.
L’édition de recueils des poètes du Malhoune, le projet d’inscription de cet art sur la liste du patrimoine immatériel de l’UNESCO, ainsi que le nouveau dispositif législatif régissant l’organisation de l’Académie Royale Marocaine, continuent le début du processus de sa préservation.
Cette institution est consciente de l’importance de cet art, dont la conservation constitue une priorité nationale. Ce sont ces convictions qui ont conduit à la création en 2011 des Malhounyat croyant avec ferveur en la cause du patrimoine et l’identité nationale comme moyen de préserver l’unité de la Ouma et de la patrie.
Mohamed LOKHNATI
