Le directeur du laboratoire de biotechnologie à la Faculté de médecine et de pharmacie de Rabat, membre du Comité technique et scientifique, Azeddine Ibrahimi, estime "légitime" d’esquisser une sortie de la crise sanitaire.
Sur son compte Facebook, le Professeur a déclaré que « le Maroc remplit tous les critères scientifiques de base que la plupart des pays ont utilisés comme conditions pour lever les restrictions liées au covid-19 », appelant ainsi les autorités à assouplir les mesures de restrictions vu que les indicateurs liés au covid sont rassurants.
Il note également la très faible propagation du virus au Maroc, l’absence de toute pression sur le système sanitaire marocain, la forte immunité collective et l’absence de variants. « Tous ces indicateurs stables nous permettent de lever les dernières restrictions restantes », note-t-il.
Evoquant les prières des Tarawih, interdites pendant les deux dernières années dans le cadre des mesures mises en place pour endiguer le risque de propagation du coronavirus, Azeddine Ibrahimi a indiqué que ces prières devront être autorisées cette année et seront accomplies dans les mosquées pendant le mois sacré, vu les indicateurs actuels de la situation épidémiologique au Maroc.
Sur son compte Facebook, le Professeur a déclaré que « le Maroc remplit tous les critères scientifiques de base que la plupart des pays ont utilisés comme conditions pour lever les restrictions liées au covid-19 », appelant ainsi les autorités à assouplir les mesures de restrictions vu que les indicateurs liés au covid sont rassurants.
Il note également la très faible propagation du virus au Maroc, l’absence de toute pression sur le système sanitaire marocain, la forte immunité collective et l’absence de variants. « Tous ces indicateurs stables nous permettent de lever les dernières restrictions restantes », note-t-il.
Evoquant les prières des Tarawih, interdites pendant les deux dernières années dans le cadre des mesures mises en place pour endiguer le risque de propagation du coronavirus, Azeddine Ibrahimi a indiqué que ces prières devront être autorisées cette année et seront accomplies dans les mosquées pendant le mois sacré, vu les indicateurs actuels de la situation épidémiologique au Maroc.