Le gardien des Lions de l'Atlas victime d'un énième larcin !
Bounou , encore une fois victime!
Une énième fois, Yassine Bounou se fait ‘’ voler’’ un titre mille fois mérité. Cette fois-ci , le ‘’vol’’ est continental.
Alors qu’il était le Favori, il ne figure même pas parmi le trio finaliste: comment et pourquoi ? Ce sont les deux mots interrogatifs qui reviennent souvent dans les commentaires, presse et réseaux sociaux confondus.
Qui décide ?
Pour rappel, c’est une commission technique de la CAF et un panel d'entraîneurs et de journalistes du Continent qui participent au vote pour désigner et les finalistes et le lauréat.
On aimerait bien connaître les résultats des votes pour au moins comprendre le comment et le pourquoi comme l’ont fait la FIFA et France Football.
Pour le moment, le sentiment dominant réactif est une forme d’injustice issue d’un mauvais choix basé sur de l’extra-sportif.
Illogique et irrationnel !
Osimhen :à part sa saison exceptionnelle avec Naples, n’a rien fait au niveau international.
Mohamed Salah : certes brillant avec Liverpool, même s'il est loin de ses performances d’antan , lui aussi, n’ rien a fait de concret et d’exceptionnel ni avec Liverpool, ni avec la sélection égyptienne . Il vit sur son passé.
Hakimi : sa présence peut s’expliquer par ses stats avec le PSG mais surtout par son brillant parcours en Coupe du Monde avec le Maroc.
Mais Bounou est le seul à avoir porté sportivement et concrètement Séville vers le sacre européen et Le Maroc vers une demi-finale de la Coupe du Monde.
Salah, Ballon d’or par ancienneté !
La présence de Hakimi peut être considérée comme une ‘’ complaisance provisoire ‘’ car le titre , il ne l’aura pas. Il serait attribué à Salah, candidat malheureux des deux précédentes éditions remportées par Sadio Mané.
Salah l’aurait par ancienneté et non pas par mérite !
C'était le cas de Chennaoui en 2022 :
La même situation s’est produite lors de la dernière édition, lorsque Chennaoui s’est vu attribuer le titre du Meilleur interclub aux dépens de Jabrane de loin le Meilleur sur les terrains.
Une énième fois, Yassine Bounou se fait ‘’ voler’’ un titre mille fois mérité. Cette fois-ci , le ‘’vol’’ est continental.
Alors qu’il était le Favori, il ne figure même pas parmi le trio finaliste: comment et pourquoi ? Ce sont les deux mots interrogatifs qui reviennent souvent dans les commentaires, presse et réseaux sociaux confondus.
Qui décide ?
Pour rappel, c’est une commission technique de la CAF et un panel d'entraîneurs et de journalistes du Continent qui participent au vote pour désigner et les finalistes et le lauréat.
On aimerait bien connaître les résultats des votes pour au moins comprendre le comment et le pourquoi comme l’ont fait la FIFA et France Football.
Pour le moment, le sentiment dominant réactif est une forme d’injustice issue d’un mauvais choix basé sur de l’extra-sportif.
Illogique et irrationnel !
Osimhen :à part sa saison exceptionnelle avec Naples, n’a rien fait au niveau international.
Mohamed Salah : certes brillant avec Liverpool, même s'il est loin de ses performances d’antan , lui aussi, n’ rien a fait de concret et d’exceptionnel ni avec Liverpool, ni avec la sélection égyptienne . Il vit sur son passé.
Hakimi : sa présence peut s’expliquer par ses stats avec le PSG mais surtout par son brillant parcours en Coupe du Monde avec le Maroc.
Mais Bounou est le seul à avoir porté sportivement et concrètement Séville vers le sacre européen et Le Maroc vers une demi-finale de la Coupe du Monde.
Salah, Ballon d’or par ancienneté !
La présence de Hakimi peut être considérée comme une ‘’ complaisance provisoire ‘’ car le titre , il ne l’aura pas. Il serait attribué à Salah, candidat malheureux des deux précédentes éditions remportées par Sadio Mané.
Salah l’aurait par ancienneté et non pas par mérite !
C'était le cas de Chennaoui en 2022 :
La même situation s’est produite lors de la dernière édition, lorsque Chennaoui s’est vu attribuer le titre du Meilleur interclub aux dépens de Jabrane de loin le Meilleur sur les terrains.
