Nizar Baraka a réagi aux conclusions et recommandations présentées par la commission exploratoire sur les autoroutes marocaines. Ce rapport a identifié plusieurs déséquilibres dans le fonctionnement de l’ADM, notamment en matière de gestion financière et administrative, d’entretien du réseau autoroutier, de rythme des travaux de construction, de sécurité routière, et d’exploitation. Dans ce contexte il a reconnu le problème de « non-immatriculation » de nombreux hectares d’actifs autoroutiers et de terrains limitrophes.
Concernant la vision stratégique, Baraka a rappelé les directives royales visant à atteindre un total de 3 000 kilomètres d’autoroutes au Maroc. Un nouveau programme contractuel est en cours d’élaboration pour répondre aux attentes des citoyens et surmonter les problèmes identifiés. Ce plan inclura une priorisation des projets et une mobilisation des moyens financiers nécessaires pour leur réalisation.
Le ministre a salué le travail sérieux de la commission exploratoire ainsi que ses 40 recommandations. Il a souligné que ces suggestions positives constituent des pistes concrètes pour surmonter les défis et faire avancer ce secteur stratégique. Parmi les priorités identifiées figurent l’amélioration de la situation financière de l’ADM, l’exploitation de tous ces hectares d'autoroutes et de terrains adjacents appartenant à la société en les immatriculant pour des fins d’investissement, ainsi que l’intégration de ces actifs au capital de la société.
En outre, le ministre a annoncé que la filiale « ADM Projet », spécialisée dans la construction d’infrastructures et équipée de technologies de pointe, sera autorisée à intervenir à l’international. Cette initiative vise à renforcer les capacités financières et le capital humain de l’ADM, en capitalisant notamment sur des contrats prometteurs avec plusieurs pays africains.
Enfin, Nizar Baraka a réitéré l’engagement du gouvernement à travailler en collaboration avec les parlementaires, considérant la Chambre des représentants comme un partenaire clé dans l’élaboration de cette feuille de route. L’objectif est de mettre en place des mesures concrètes pour garantir un développement durable et efficient des infrastructures autoroutières au Maroc, tout en répondant aux besoins croissants des citoyens et de l’économie nationale.
Concernant la vision stratégique, Baraka a rappelé les directives royales visant à atteindre un total de 3 000 kilomètres d’autoroutes au Maroc. Un nouveau programme contractuel est en cours d’élaboration pour répondre aux attentes des citoyens et surmonter les problèmes identifiés. Ce plan inclura une priorisation des projets et une mobilisation des moyens financiers nécessaires pour leur réalisation.
Le ministre a salué le travail sérieux de la commission exploratoire ainsi que ses 40 recommandations. Il a souligné que ces suggestions positives constituent des pistes concrètes pour surmonter les défis et faire avancer ce secteur stratégique. Parmi les priorités identifiées figurent l’amélioration de la situation financière de l’ADM, l’exploitation de tous ces hectares d'autoroutes et de terrains adjacents appartenant à la société en les immatriculant pour des fins d’investissement, ainsi que l’intégration de ces actifs au capital de la société.
En outre, le ministre a annoncé que la filiale « ADM Projet », spécialisée dans la construction d’infrastructures et équipée de technologies de pointe, sera autorisée à intervenir à l’international. Cette initiative vise à renforcer les capacités financières et le capital humain de l’ADM, en capitalisant notamment sur des contrats prometteurs avec plusieurs pays africains.
Enfin, Nizar Baraka a réitéré l’engagement du gouvernement à travailler en collaboration avec les parlementaires, considérant la Chambre des représentants comme un partenaire clé dans l’élaboration de cette feuille de route. L’objectif est de mettre en place des mesures concrètes pour garantir un développement durable et efficient des infrastructures autoroutières au Maroc, tout en répondant aux besoins croissants des citoyens et de l’économie nationale.