Lors d’une conférence de presse consacrée au bilan annuel 2022 du marché automobile au Maroc, tenue vendredi, le président de l’AVIAM a présenté dans le détail les résultats de ce secteur.
Il en ressort que 8%, de cette baisse des ventes dans le marché automobile est imputée, selon le président d’AVIAM, Adil Bennani, aux bouleversements mondiaux, en l’occurrence l’inflation, les perturbations liées à la chaîne d’approvisionnement, la hausse des prix des hydrocarbures, mais également à la diminution de la demande locale.
Le segment des véhicules particuliers (VP), qui constitue 90% des ventes globales, a fléchi de 7% par rapport à 2021. La marque Dacia s’est taillée la part du lion avec 27,2% de part de marché, à savoir 38.885 unités vendues, suivie par Renault (15%) et Hyundai (9,2%), a-t-il indiqué, précisant que cette tendance négative s’est ressentie sur la disponibilité des stocks.
La marque Hyundai, qui a occupé la troisième place, s’ajoute aux autres marques asiatiques, qui se sont bien positionnées dans la catégorie de ces véhicules de tourisme les plus vendues Toyota (septième place) et Kia (neuvième place).
Bennani a déclaré, à ce sujet, que ces constructeurs automobiles étaient les moins touchés par la crise des semi-conducteurs en comparaison avec leurs concurrents européens. Cette crise a pesé lourdement sur la production mondiale en la matière et sur les chaînes d’approvisionnement, et donc automatiquement sur la disponibilité des véhicules.
En même temps, les immatriculations de véhicules utilitaires légers (VU) ont suivi la même tendance baissière, enregistrant une diminution de 14 % par rapport à 2021. Le présent constat est dû essentiellement, selon le président d’AVIAM, au «manque de visibilité et à l’incertitude sur les conditions économiques».
D’autre part, les ventes de moteurs à essence ont augmenté de 14,3 % en 2022, par rapport à 10,8 % en 2021. Bennani a souligné, dans le même sens, que les ventes de moteurs alternatifs ont épousé le même rythme ayant augmenté de 17 %, correspondant à une part de marché de 3,5 %.
Bennani a précisé, par ailleurs, que les exploitants de véhicules automobiles non thermiques sur le marché sont de plus en plus présents, d’autant plus que 18 marques et presque 71 modèles ont enregistré leur présence dans le marché marocain en 2022, contre 16 marques et 57 modèles en 2021.
S’agissant des perspectives, l’année 2023 devra être « encore un peu difficile », selon l’AVIAM, d’autant plus que les difficultés d’approvisionnement à l’échelle mondiale «ne seront toujours pas réglées ».
Il en ressort que 8%, de cette baisse des ventes dans le marché automobile est imputée, selon le président d’AVIAM, Adil Bennani, aux bouleversements mondiaux, en l’occurrence l’inflation, les perturbations liées à la chaîne d’approvisionnement, la hausse des prix des hydrocarbures, mais également à la diminution de la demande locale.
Le segment des véhicules particuliers (VP), qui constitue 90% des ventes globales, a fléchi de 7% par rapport à 2021. La marque Dacia s’est taillée la part du lion avec 27,2% de part de marché, à savoir 38.885 unités vendues, suivie par Renault (15%) et Hyundai (9,2%), a-t-il indiqué, précisant que cette tendance négative s’est ressentie sur la disponibilité des stocks.
La marque Hyundai, qui a occupé la troisième place, s’ajoute aux autres marques asiatiques, qui se sont bien positionnées dans la catégorie de ces véhicules de tourisme les plus vendues Toyota (septième place) et Kia (neuvième place).
Bennani a déclaré, à ce sujet, que ces constructeurs automobiles étaient les moins touchés par la crise des semi-conducteurs en comparaison avec leurs concurrents européens. Cette crise a pesé lourdement sur la production mondiale en la matière et sur les chaînes d’approvisionnement, et donc automatiquement sur la disponibilité des véhicules.
En même temps, les immatriculations de véhicules utilitaires légers (VU) ont suivi la même tendance baissière, enregistrant une diminution de 14 % par rapport à 2021. Le présent constat est dû essentiellement, selon le président d’AVIAM, au «manque de visibilité et à l’incertitude sur les conditions économiques».
D’autre part, les ventes de moteurs à essence ont augmenté de 14,3 % en 2022, par rapport à 10,8 % en 2021. Bennani a souligné, dans le même sens, que les ventes de moteurs alternatifs ont épousé le même rythme ayant augmenté de 17 %, correspondant à une part de marché de 3,5 %.
Bennani a précisé, par ailleurs, que les exploitants de véhicules automobiles non thermiques sur le marché sont de plus en plus présents, d’autant plus que 18 marques et presque 71 modèles ont enregistré leur présence dans le marché marocain en 2022, contre 16 marques et 57 modèles en 2021.
S’agissant des perspectives, l’année 2023 devra être « encore un peu difficile », selon l’AVIAM, d’autant plus que les difficultés d’approvisionnement à l’échelle mondiale «ne seront toujours pas réglées ».
Malak ELALAMI