Le premier chantier se focalise sur le développement des festivals et des activités d’animation, visant à dynamiser les infrastructures culturelles de la région et à mettre en valeur les festivals culturels et de jeunesse, organisés chaque année.
Le deuxième programme vise à équiper et animer 18 espaces culturels de proximité, offrant des opportunités de formation et d'intégration professionnelle aux jeunes. Ces espaces permettront d'intégrer les jeunes dans les industries créatives et culturelles, en les formant et en les accompagnant à travers notamment l’organisation d’activités de proximité.
Quant au troisième programme, il concerne la réhabilitation et la valorisation des lieux patrimoniaux de la région. Il vise à sensibiliser à l'importance du patrimoine matériel et immatériel, tout en favorisant les opérations de restauration et de mise en valeur des sites et monuments historiques, y compris les remparts historiques.
Cette entrevue qui se voulait d'abord une visite de courtoisie entre les deux parties, s’inscrit dans le cadre de la consultation avec la société civile et fut marquée par un débat paraphé de franchise et de la ferme volonté de travailler, a relevé Fassi Fihri, président de « Doukkala Mémoire ».
Conçu par et pour la communauté, le Plan du développement culturel de la région Casablanca-Settat reflète, selon Abdelkrim Bencherki, une volonté claire de faire de la culture un véritable pilier du développement durable dans les Doukkala. « Au même titre que les orientations sociales, économiques et environnementale, la culture doit entraîner des effets structurants sur l’ensemble du territoire de la région », a-t-il affirmé.
Cette rencontre, la première du genre entre les deux parties, qui traduit, si besoin est, la volonté du Conseil de la Région de mettre sur pied une politique publique globale et intégrée prenant en considération l'acteur civil, s'est déroulée dans un esprit de responsabilité, permettant aux deux parties d'aborder les moyens de collaboration, dans l'espoir d'œuvrer ensemble dans un cadre "large, participatif, ouvert et pluriel", a indiqué pour sa part Mohamed Saïri, secrétaire général de l’Association Doukkala et membre de Doukkala Mémoire.
Le deuxième programme vise à équiper et animer 18 espaces culturels de proximité, offrant des opportunités de formation et d'intégration professionnelle aux jeunes. Ces espaces permettront d'intégrer les jeunes dans les industries créatives et culturelles, en les formant et en les accompagnant à travers notamment l’organisation d’activités de proximité.
Quant au troisième programme, il concerne la réhabilitation et la valorisation des lieux patrimoniaux de la région. Il vise à sensibiliser à l'importance du patrimoine matériel et immatériel, tout en favorisant les opérations de restauration et de mise en valeur des sites et monuments historiques, y compris les remparts historiques.
Cette entrevue qui se voulait d'abord une visite de courtoisie entre les deux parties, s’inscrit dans le cadre de la consultation avec la société civile et fut marquée par un débat paraphé de franchise et de la ferme volonté de travailler, a relevé Fassi Fihri, président de « Doukkala Mémoire ».
Conçu par et pour la communauté, le Plan du développement culturel de la région Casablanca-Settat reflète, selon Abdelkrim Bencherki, une volonté claire de faire de la culture un véritable pilier du développement durable dans les Doukkala. « Au même titre que les orientations sociales, économiques et environnementale, la culture doit entraîner des effets structurants sur l’ensemble du territoire de la région », a-t-il affirmé.
Cette rencontre, la première du genre entre les deux parties, qui traduit, si besoin est, la volonté du Conseil de la Région de mettre sur pied une politique publique globale et intégrée prenant en considération l'acteur civil, s'est déroulée dans un esprit de responsabilité, permettant aux deux parties d'aborder les moyens de collaboration, dans l'espoir d'œuvrer ensemble dans un cadre "large, participatif, ouvert et pluriel", a indiqué pour sa part Mohamed Saïri, secrétaire général de l’Association Doukkala et membre de Doukkala Mémoire.