Le géant du web est une fois de plus dans une mauvaise posture. En effet, le média britannique très populaire a porté plainte contre Google, l’accusant de truquer les résultats de recherche dans le Search, mais aussi de manipuler les enchères publicitaires au préjudice des éditeurs de presse.
Google avantagerait sa propre plateforme
Dans sa plainte déposée à NewYork, le Daily Mail affirme qu’en 2019 Google l’a délibérément sanctionné suite à la configuration des espaces pulicaires qui s’éloignaient du modèle de la firme. Google aurait par la suite changé sa technologie afin de s’opposer à la nouvelle stratégie du Daily Mail. Bien que Google joue un rôle majeur dans la mise en avant des articles d’éditeurs, ils restent tout de même en compétition lorsqu’il s’agit de la publicité en ligne.
Le média britannique a rapporté être déçu par la façon dont son traitement de la famille royale en 2021 a été promu sur le moteur de recherche. Il révèle que la société américaine a avantagé sa propre plateforme durant la vente d’espaces publicitaires et qu’elle a joint son moteur de recherche et sa plateforme de vente d’annonces pour exercer une contrainte sur les éditeurs, ce qui s’avère être un comportement anticoncurrentiel.
Souhaitant plus de transparence concernant les algorithmes utilisés pour Google Actualités, le Daily Mail assure que la fin des cookies tiers communiquée par Google sur Chrome va désavantager les éditeurs de presse. Rappelons, que le Daily Mail représente une réelle machine médiatique, juste aux États-Unis il dénombre 75 millions de visiteurs uniques par mois.
La réponse de Google
Le géant américain a tenu à répondre face à ces accusations : « les affirmations du Daily Mail sont totalement inexactes. L'utilisation de nos outils publicitaires n'a aucune incidence sur le classement du site web d'un éditeur sur Google Search. D'une manière plus générale, nous sommes en concurrence dans un espace de publicité en ligne bondé et compétitif où les éditeurs ont et utilisent de multiples alternatives », a assuré une porte-parole de la société.
Depuis la fin de l’année 2020, Google enchaîne les poursuites judiciaires qui le mettent à mal. Dernièrement, plusieurs petits médias ont entamé des poursuites envers Google au sujet d’un contrat passé avec lui dénommé Jedi blue. En plus, la firme est visée par trois plaintes antitrust conduites par des politiques. La majorité des plaintes impliquent des pratiques publicitaires de la société américaine.
Google avantagerait sa propre plateforme
Dans sa plainte déposée à NewYork, le Daily Mail affirme qu’en 2019 Google l’a délibérément sanctionné suite à la configuration des espaces pulicaires qui s’éloignaient du modèle de la firme. Google aurait par la suite changé sa technologie afin de s’opposer à la nouvelle stratégie du Daily Mail. Bien que Google joue un rôle majeur dans la mise en avant des articles d’éditeurs, ils restent tout de même en compétition lorsqu’il s’agit de la publicité en ligne.
Le média britannique a rapporté être déçu par la façon dont son traitement de la famille royale en 2021 a été promu sur le moteur de recherche. Il révèle que la société américaine a avantagé sa propre plateforme durant la vente d’espaces publicitaires et qu’elle a joint son moteur de recherche et sa plateforme de vente d’annonces pour exercer une contrainte sur les éditeurs, ce qui s’avère être un comportement anticoncurrentiel.
Souhaitant plus de transparence concernant les algorithmes utilisés pour Google Actualités, le Daily Mail assure que la fin des cookies tiers communiquée par Google sur Chrome va désavantager les éditeurs de presse. Rappelons, que le Daily Mail représente une réelle machine médiatique, juste aux États-Unis il dénombre 75 millions de visiteurs uniques par mois.
La réponse de Google
Le géant américain a tenu à répondre face à ces accusations : « les affirmations du Daily Mail sont totalement inexactes. L'utilisation de nos outils publicitaires n'a aucune incidence sur le classement du site web d'un éditeur sur Google Search. D'une manière plus générale, nous sommes en concurrence dans un espace de publicité en ligne bondé et compétitif où les éditeurs ont et utilisent de multiples alternatives », a assuré une porte-parole de la société.
Depuis la fin de l’année 2020, Google enchaîne les poursuites judiciaires qui le mettent à mal. Dernièrement, plusieurs petits médias ont entamé des poursuites envers Google au sujet d’un contrat passé avec lui dénommé Jedi blue. En plus, la firme est visée par trois plaintes antitrust conduites par des politiques. La majorité des plaintes impliquent des pratiques publicitaires de la société américaine.