Lors d'une réunion initiée par le groupe thématique chargé de l'évaluation des politiques publiques dans le secteur du tourisme à la Chambre des Conseillers, Mme Ammor a expliqué que les neuf filières thématiques portent sur le tourisme urbain, la nature et les excursions, l'océan et les vagues, le tourisme d'affaires, le désert et les oasis, la plage et le soleil, les sentiers culturels, outre les filières spécifiques au tourisme interne via la plage, la nature et la découverte.
Concernant les filières transversales, elles visent, selon la ministre, à préserver l'équilibre environnemental et écologique ainsi que les autres aspects qui intéressent la population et garantissent la durabilité, notamment culturels, sociaux ou économiques.
Elle a dans ce sillage mis en avant la cuisine marocaine et les produits locaux, les festivals et les moussems, l'industrie traditionnelle et les compétences locales, l'hébergement alternatif et le développement durable.
La responsable gouvernementale a relevé que cette offre, qui s'inscrit dans le cadre de la feuille de route du tourisme 2023-2026, vise à attirer 17,5 millions de touristes et à réaliser des revenus de 120 milliards de dirhams (MMDH) en devises, ainsi qu'à créer 200.000 nouveaux emplois directs et indirects d'ici 2026, afin de renforcer la position du tourisme en tant que secteur clé de l'économie nationale.
Elle a par ailleurs indiqué que le budget de cette feuille de route s'élève à 6,1 MMDH, ajoutant qu'elle repose sur 6 leviers de compétitivité, à savoir un plan de stimulation du transport aérien, une stratégie de promotion et de distribution multicanal, la qualification et le renforcement de l'offre hôtelière, la stimulation de l'investissement dans l'animation et les services, la formation et l'amélioration du capital humain, ainsi que le renforcement de l'Observatoire du tourisme.
Afin de faire réussir cette feuille de route, Mme Ammor a souligné qu'il est primordial de promouvoir la gouvernance et instaurer cette stratégie au plus haut niveau de l'autorité exécutive, mettre en ordre les entités chargées de la gestion et du suivi de la mise en œuvre, et adopter une stratégie de financement innovante pour accroitre le budget alloué au secteur.
D'autre part, la ministre a estimé que le secteur touristique a réussi à surmonter les défis posés par la crise du coronavirus, notant que l’année 2023 a constitué une année record avec une nette progression des indicateurs du secteur, notamment le nombre d'arrivées aux frontières du Maroc qui a atteint 14,5 millions de touristes en 2023, soit une augmentation de 34% par rapport à 2022 et de 12% par rapport à 2019.
Quant aux nuitées enregistrées dans les établissements d'hébergement classés, elles ont atteint, selon Mme Ammor, 25,6 millions en 2023, en hausse de 35% par rapport à 2022 et de 1,5% par rapport à 2019, poursuivant que les recettes touristiques en devises ont progressé de 12%, passant de 93,6 MMDH à 105 MMDH en 2023, soit une augmentation de 33% par rapport à 2019.
S'inscrivant dans le cadre d'une série de rencontres organisées par le groupe parlementaire thématique avec les différents acteurs et intervenants du secteur dans diverses régions du Royaume, cette rencontre vise à évaluer la mise en œuvre des politiques publiques dans le secteur du tourisme et d'identifier les différents obstacles et contraintes pour élaborer un rapport sur le tourisme au Maroc.
Concernant les filières transversales, elles visent, selon la ministre, à préserver l'équilibre environnemental et écologique ainsi que les autres aspects qui intéressent la population et garantissent la durabilité, notamment culturels, sociaux ou économiques.
Elle a dans ce sillage mis en avant la cuisine marocaine et les produits locaux, les festivals et les moussems, l'industrie traditionnelle et les compétences locales, l'hébergement alternatif et le développement durable.
La responsable gouvernementale a relevé que cette offre, qui s'inscrit dans le cadre de la feuille de route du tourisme 2023-2026, vise à attirer 17,5 millions de touristes et à réaliser des revenus de 120 milliards de dirhams (MMDH) en devises, ainsi qu'à créer 200.000 nouveaux emplois directs et indirects d'ici 2026, afin de renforcer la position du tourisme en tant que secteur clé de l'économie nationale.
Elle a par ailleurs indiqué que le budget de cette feuille de route s'élève à 6,1 MMDH, ajoutant qu'elle repose sur 6 leviers de compétitivité, à savoir un plan de stimulation du transport aérien, une stratégie de promotion et de distribution multicanal, la qualification et le renforcement de l'offre hôtelière, la stimulation de l'investissement dans l'animation et les services, la formation et l'amélioration du capital humain, ainsi que le renforcement de l'Observatoire du tourisme.
Afin de faire réussir cette feuille de route, Mme Ammor a souligné qu'il est primordial de promouvoir la gouvernance et instaurer cette stratégie au plus haut niveau de l'autorité exécutive, mettre en ordre les entités chargées de la gestion et du suivi de la mise en œuvre, et adopter une stratégie de financement innovante pour accroitre le budget alloué au secteur.
D'autre part, la ministre a estimé que le secteur touristique a réussi à surmonter les défis posés par la crise du coronavirus, notant que l’année 2023 a constitué une année record avec une nette progression des indicateurs du secteur, notamment le nombre d'arrivées aux frontières du Maroc qui a atteint 14,5 millions de touristes en 2023, soit une augmentation de 34% par rapport à 2022 et de 12% par rapport à 2019.
Quant aux nuitées enregistrées dans les établissements d'hébergement classés, elles ont atteint, selon Mme Ammor, 25,6 millions en 2023, en hausse de 35% par rapport à 2022 et de 1,5% par rapport à 2019, poursuivant que les recettes touristiques en devises ont progressé de 12%, passant de 93,6 MMDH à 105 MMDH en 2023, soit une augmentation de 33% par rapport à 2019.
S'inscrivant dans le cadre d'une série de rencontres organisées par le groupe parlementaire thématique avec les différents acteurs et intervenants du secteur dans diverses régions du Royaume, cette rencontre vise à évaluer la mise en œuvre des politiques publiques dans le secteur du tourisme et d'identifier les différents obstacles et contraintes pour élaborer un rapport sur le tourisme au Maroc.