Les forces de sécurité ont réussi à élucider le mystère du réseau criminel spécialisé dans la fabrication, la promotion et la vente d’alcool frelaté. Ils ont arrêté deux suspects, le premier est de Ras El-Maa dans la province de Nador, l’autre est de Casablanca. Récemment, l’affaire de l’alcool frelaté a secoué le Maroc et particulièrement la région de l’Oriental, où plus d’une vingtaine de personnes ont perdu la vie dans la ville d’Oujda, Taourirt et Driouch.
Dans le cadre de l’interaction de différents services sécuritaires compétents de la région de Nador, les services de Sûreté nationale et de la police judiciaire ont été enrôlées en coordination directe avec les différents acteurs et autorités locales.
Des opérations diverses et intensives ont été menées dans divers quartiers, ce qui a permis d’arrêter de nombreux promoteurs, en plus des deux mis en cause arrêtés à Ras El-Maa et à Casablanca. Les opérations de contrôle ont abouti également à la saisie d’environ 40.000 bouteilles destinées à la vente et à la consommation.
Pour rappel, l’Association marocaine des droits humains (AMDH), tout en adressant ses condoléances aux familles des victimes, avait lancé un appel auprès des autorités marocaines pour « l’ouverture d’une enquête sérieuse sur cette question, le suivi et l’arrestation des réseaux impliqués dans la promotion de ces produits corrompus et toxiques qui menacent la vie et la sécurité des citoyens et d’annoncer les résultats de ces enquêtes ».
Dans le cadre de l’interaction de différents services sécuritaires compétents de la région de Nador, les services de Sûreté nationale et de la police judiciaire ont été enrôlées en coordination directe avec les différents acteurs et autorités locales.
Des opérations diverses et intensives ont été menées dans divers quartiers, ce qui a permis d’arrêter de nombreux promoteurs, en plus des deux mis en cause arrêtés à Ras El-Maa et à Casablanca. Les opérations de contrôle ont abouti également à la saisie d’environ 40.000 bouteilles destinées à la vente et à la consommation.
Pour rappel, l’Association marocaine des droits humains (AMDH), tout en adressant ses condoléances aux familles des victimes, avait lancé un appel auprès des autorités marocaines pour « l’ouverture d’une enquête sérieuse sur cette question, le suivi et l’arrestation des réseaux impliqués dans la promotion de ces produits corrompus et toxiques qui menacent la vie et la sécurité des citoyens et d’annoncer les résultats de ces enquêtes ».
K. Ch.
